Alstom s'attend à une poursuite de l'amélioration de sa rentabilité dans le secteur du transport où il entend se développer après la cession de son pôle énergie.
Le bénéfice net d'Alstom a chuté de 32 % à 255 millions d'euros entre avril et septembre, pénalisé par le recul des ventes dans le secteur de l'énergie, mais aussi des frais financiers élevés et d'importantes charges de restructuration dans les transports.
En revanche, dans ce dernier domaine, le chiffre d'affaires a progressé de 13 %, tant en données publiées qu'à périmètre et taux de change constants, pour un résultat opérationnel de 152 millions d'euros (+ 21 %). Sur l'ensemble de l'exercice, qui sera clos fin mars, les ventes devraient connaître une "croissance élevée, à un chiffre", a prédit mercredi Alstom, pour une marge opérationnelle "supérieure à 5%" et un cash flow libre positif pour les activités poursuivies.
Un marché du rail à 100 milliards
L'équipementier français qui construit des tramways, des trains régionaux et les TGV veut développer ses activités ferroviaires tout en cédant l'essentiel de son pôle énergie, qui représente 70 % du chiffre d'affaires total, à General Electric pour 12,35 milliards d'euros. "C'est un marché dans lesquelles les opportunités de croissance nous paraissent exister dans l'ensemble des régions, pour autant qu'on se dote des moyens nécessaires pour les saisir", estime le PDG Patrick Kron.
Ce dernier évalue ce marché du rail à "plus de 100 milliards d'euros", porté par "des éléments de croissance solide : l'urbanisation, le développement durable et la croissance économique. Avec des demandes particulièrement fortes dans le domaine de l'urbain et du régional".
En revanche, dans ce dernier domaine, le chiffre d'affaires a progressé de 13 %, tant en données publiées qu'à périmètre et taux de change constants, pour un résultat opérationnel de 152 millions d'euros (+ 21 %). Sur l'ensemble de l'exercice, qui sera clos fin mars, les ventes devraient connaître une "croissance élevée, à un chiffre", a prédit mercredi Alstom, pour une marge opérationnelle "supérieure à 5%" et un cash flow libre positif pour les activités poursuivies.
Un marché du rail à 100 milliards
L'équipementier français qui construit des tramways, des trains régionaux et les TGV veut développer ses activités ferroviaires tout en cédant l'essentiel de son pôle énergie, qui représente 70 % du chiffre d'affaires total, à General Electric pour 12,35 milliards d'euros. "C'est un marché dans lesquelles les opportunités de croissance nous paraissent exister dans l'ensemble des régions, pour autant qu'on se dote des moyens nécessaires pour les saisir", estime le PDG Patrick Kron.
Ce dernier évalue ce marché du rail à "plus de 100 milliards d'euros", porté par "des éléments de croissance solide : l'urbanisation, le développement durable et la croissance économique. Avec des demandes particulièrement fortes dans le domaine de l'urbain et du régional".