Alstom n'a pas l'intention de reprendre STX France (ex-Chantiers de l'Atlantique), issue de l'ancienne division Marine du géant industriel cédée en 2006, et dont l'actuel propriétaire sud-coréen cherche à se défaire, a déclaré mardi 7 mai le PDG du groupe industriel français, Patrick Kron. "Nous avons une coopération avec les Chantiers de l'Atlantique dans toute une série de domaines", comme les éoliennes marines, "et nous espérons que les questions sur l'évolution de son actionnariat trouverons une solution, mais en ce qui concerne Alstom, nous ne sommes pas intéressés", a déclaré Patrick Kron. "Nous ne sommes intéressés ni par la reprise de STX ni par celle du volailler Doux", a-t-il ajouté, en forme de boutade.
Alstom (alors connu sous son ancienne dénomination d'Alsthom) avait acquis en 1976 les Chantiers de l'Atlantique à Saint-Nazaire, en Loire-Atlantique, avant de les céder trente ans plus tard au constructeur naval norvégien Aker Yards, lui-même passé en 2008 sous l'égide du sud-coréen STX Shipbuilding, qui les a rebaptisés STX France. STX a annoncé qu'il envisageait de céder ses chantiers navals en France et en Finlande, du fait de lourdes difficultés financières. STX France est détenu à 33,3 % par l'État français et pour le reste par le constructeur sud-coréen. Réagissant à cette annonce qui a suscité des inquiétudes pour l'avenir du dernier chantier naval de France, le gouvernement français a assuré que l'activité de STX France n'était pas menacée par une éventuelle cession, vue la bonne santé économique de l'entreprise.
Alstom (alors connu sous son ancienne dénomination d'Alsthom) avait acquis en 1976 les Chantiers de l'Atlantique à Saint-Nazaire, en Loire-Atlantique, avant de les céder trente ans plus tard au constructeur naval norvégien Aker Yards, lui-même passé en 2008 sous l'égide du sud-coréen STX Shipbuilding, qui les a rebaptisés STX France. STX a annoncé qu'il envisageait de céder ses chantiers navals en France et en Finlande, du fait de lourdes difficultés financières. STX France est détenu à 33,3 % par l'État français et pour le reste par le constructeur sud-coréen. Réagissant à cette annonce qui a suscité des inquiétudes pour l'avenir du dernier chantier naval de France, le gouvernement français a assuré que l'activité de STX France n'était pas menacée par une éventuelle cession, vue la bonne santé économique de l'entreprise.