Maurel et Prom a vu son chiffre d'affaires progresser de 3 % sur les neuf premiers mois de l'année grâce à la réintégration dans ses comptes des ventes de sa filiale Caroil, qui compense une baisse de la production d'or noir.
Le chiffre d'affaires de Maurel et Prom entre janvier et octobre a atteint 446,8 millions d'euros, contre 433,3 millions d'euros lors des neuf premiers mois de 2013, soit une hausse de 3 %. La compagnie pétrolière française précise que la production de pétrole brut a augmenté de 23.807 à 25.233 barils par jour au Gabon, sa principale zone d'extraction, mais la part revenant au groupe a stagné à 20.186 b/j. Au total, la production du groupe a reculé de 3 %, affectée aussi par la vente d'un petit gisement en Colombie.
Contrat au Gabon
Maurel et Prom a signé en février un nouveau contrat d'exploitation de vingt ans au Gabon dénommé "Ezanga". Le groupe n'était plus en mesure de fournir un calendrier pour l'augmentation de la production brute dans ce pays freinée par d'importants travaux sur les installations visant à en améliorer la performance, alors qu'il avait dit auparavant miser sur 35.000 b/j cette année. "Une augmentation de la production suppose que les travaux sur des zones homogènes soient terminés pour que l'injection d'eau puisse reprendre. Cette situation, à laquelle s'ajoutent les délais d'approvisionnement des équipements spéciaux, ne permet pas d'établir aujourd'hui un calendrier précis de l'évolution de la production", a-t-il expliqué.
Maurel et Prom a vendu 5,24 millions de barils de janvier à fin septembre, en baisse de -0,9% sur un an, à un prix de vente moyen de 106,6 dollars le baril, contre 106,2 un an plus tôt.
Contrat au Gabon
Maurel et Prom a signé en février un nouveau contrat d'exploitation de vingt ans au Gabon dénommé "Ezanga". Le groupe n'était plus en mesure de fournir un calendrier pour l'augmentation de la production brute dans ce pays freinée par d'importants travaux sur les installations visant à en améliorer la performance, alors qu'il avait dit auparavant miser sur 35.000 b/j cette année. "Une augmentation de la production suppose que les travaux sur des zones homogènes soient terminés pour que l'injection d'eau puisse reprendre. Cette situation, à laquelle s'ajoutent les délais d'approvisionnement des équipements spéciaux, ne permet pas d'établir aujourd'hui un calendrier précis de l'évolution de la production", a-t-il expliqué.
Maurel et Prom a vendu 5,24 millions de barils de janvier à fin septembre, en baisse de -0,9% sur un an, à un prix de vente moyen de 106,6 dollars le baril, contre 106,2 un an plus tôt.
