CGG a dévoilé son intention de lever un montant maximum de 350 millions d'euros afin de financer son plan de transformation qui doit lui permettre d'affronter la chute des prix du pétrole.
Le groupe français de services parapétroliers CGG va réunir une assemblée générale mixte des actionnaires le 11 janvier à Paris. Celle-ci "aura pour objet de déléguer à son conseil d'administration la compétence de décider de lancer une augmentation de capital d'un montant maximum de 350 millions d'euros (prime d'émission comprise) par émission d'actions ordinaires, avec maintien du droit préférentiel de souscription des actionnaires".
Total et Bpifrance en soutien
D'ores et déjà, le groupe en difficulté a dit bénéficier du soutien de la banque publique Bpifrance, son actionnaire à 7,04 %, "qui vient d'annoncer qu'il envisage de souscrire, aux côtés de l'IFP Énergies Nouvelles, à l'appel au marché à hauteur de la participation que le concert détient, soit 10,62 % du capital", a-t-il indiqué. CGG a précisé que le géant pétrolier Total envisageait aussi de le soutenir, "si nécessaire", à hauteur de maximum 35 millions d'euros.
Le groupe fait face à un marché pétrolier durablement dégradé, qui a déjà grevé ses résultats au troisième trimestre, avec une perte nette de 1,07 milliard de dollars, multipliée par neuf en un an. L'entreprise spécialisée dans les études et équipements sismiques est frappée de plein fouet par la réduction des investissements des compagnies pétrolières face à la chute des cours du pétrole, réduits de plus de moitié depuis mi-2014.
Total et Bpifrance en soutien
D'ores et déjà, le groupe en difficulté a dit bénéficier du soutien de la banque publique Bpifrance, son actionnaire à 7,04 %, "qui vient d'annoncer qu'il envisage de souscrire, aux côtés de l'IFP Énergies Nouvelles, à l'appel au marché à hauteur de la participation que le concert détient, soit 10,62 % du capital", a-t-il indiqué. CGG a précisé que le géant pétrolier Total envisageait aussi de le soutenir, "si nécessaire", à hauteur de maximum 35 millions d'euros.
Le groupe fait face à un marché pétrolier durablement dégradé, qui a déjà grevé ses résultats au troisième trimestre, avec une perte nette de 1,07 milliard de dollars, multipliée par neuf en un an. L'entreprise spécialisée dans les études et équipements sismiques est frappée de plein fouet par la réduction des investissements des compagnies pétrolières face à la chute des cours du pétrole, réduits de plus de moitié depuis mi-2014.
