La Fédération des officiers de la marine marchande (Fomm) UGICT CGT et la Fédération nationale des syndicats maritimes (FNSM) CGT condamnent le début de délocalisation de l'armateur français CMA CGM.
Les organisations syndicales "rejettent catégoriquement le début du transfert des services d'une compagnie maritime aidée financièrement par l'État français" lorsqu'elles ont appris dernièrement que "la gestion des équipages sous pavillon Rif (de la compagnie marseillaise) s'effectuera depuis Singapour avec du personnel local".
Elles se disent choquées de "laisser une entreprise, qui a reçu les subsides de l'État, délocaliser ses emplois et aller vers le moins disant et le moins cher".
Les responsables de la Fomm UGICT CGT et de la FNSM ajoutent que, "si les employés qui gèrent actuellement les navigants au siège de CMA CGM à Marseille restent en poste en perdant une partie de leurs prérogatives passées dorénavant à Singapour, il y a fort à parier que ce ne sera pas pour longtemps".
Ils exigent que "l'État prenne ses responsabilités au travers de ses représentants au conseil d'administration de (l'armateur, NDLR) et s'oppose à cette mesure qui, pour nous, est une insulte aux contribuables, à tout le personnel sédentaire ainsi qu'à tous les navigants de cette compagnie".
Ils menacent de "prendre leurs responsabilités pour contrecarrer cette délocalisation scélérate et pérenniser l'emploi de l'ensemble du personnel concerné en France" si les représentants de l'État restent sans réaction.
Les organisations syndicales "rejettent catégoriquement le début du transfert des services d'une compagnie maritime aidée financièrement par l'État français" lorsqu'elles ont appris dernièrement que "la gestion des équipages sous pavillon Rif (de la compagnie marseillaise) s'effectuera depuis Singapour avec du personnel local".
Elles se disent choquées de "laisser une entreprise, qui a reçu les subsides de l'État, délocaliser ses emplois et aller vers le moins disant et le moins cher".
Les responsables de la Fomm UGICT CGT et de la FNSM ajoutent que, "si les employés qui gèrent actuellement les navigants au siège de CMA CGM à Marseille restent en poste en perdant une partie de leurs prérogatives passées dorénavant à Singapour, il y a fort à parier que ce ne sera pas pour longtemps".
Ils exigent que "l'État prenne ses responsabilités au travers de ses représentants au conseil d'administration de (l'armateur, NDLR) et s'oppose à cette mesure qui, pour nous, est une insulte aux contribuables, à tout le personnel sédentaire ainsi qu'à tous les navigants de cette compagnie".
Ils menacent de "prendre leurs responsabilités pour contrecarrer cette délocalisation scélérate et pérenniser l'emploi de l'ensemble du personnel concerné en France" si les représentants de l'État restent sans réaction.