Le gouvernement grec et l'Agence de privatisations ont signé la cession de quatorze aéroports régionaux à l'opérateur aéroportuaire allemand Fraport pour un prix de 1,2 milliard d'euros, la première importante privatisation du gouvernement de gauche Syriza.
La Grèce a cédé lundi 14 décembre quatorze aéroports régionaux à l'allemand Fraport. Le consortium Fraport AG-Slentel Ltd associé avec la société grecque Kopelouzos aura le droit "de l'utilisation, de la gestion et de l'exploitation sur une durée de quarante ans" de ces aéroports, dont celui de Thessalonique, deuxième ville grecque dans le Nord, et des aéroports situés sur les îles très touristiques, dont Mykonos, Santorin ou Corfou, selon l'Agence de privatisations (Hradf).
Ambitieux programme de privatisations
"La signature du contrat de cession de quatorze aéroports régionaux est une évolution importante et un signe pour l'économie grecque qui gagne pas à pas la confiance des marchés et reprend la voie de la croissance", s'est félicité Stergios Pitsiorlas, président de l'agence.
Dans le cadre de l'accord sur le troisième prêt international consenti au pays en juillet, le gouvernement de gauche d'Alexis Tsipras s'est engagé auprès de ses créanciers à réaliser un ambitieux programme de privatisations comprenant la cession de ports, aéroports et d'autres biens immobiliers de l' État.
Le Parlement grec doit voter mardi 15 décembre une loi sur les modalités de la cession au privé - via une entrée en Bourse combinée à la recherche d'un investisseur stratégique - de 49 % des parts du distributeur d'électricité Admie, l’État gardant le reste.
Ambitieux programme de privatisations
"La signature du contrat de cession de quatorze aéroports régionaux est une évolution importante et un signe pour l'économie grecque qui gagne pas à pas la confiance des marchés et reprend la voie de la croissance", s'est félicité Stergios Pitsiorlas, président de l'agence.
Dans le cadre de l'accord sur le troisième prêt international consenti au pays en juillet, le gouvernement de gauche d'Alexis Tsipras s'est engagé auprès de ses créanciers à réaliser un ambitieux programme de privatisations comprenant la cession de ports, aéroports et d'autres biens immobiliers de l' État.
Le Parlement grec doit voter mardi 15 décembre une loi sur les modalités de la cession au privé - via une entrée en Bourse combinée à la recherche d'un investisseur stratégique - de 49 % des parts du distributeur d'électricité Admie, l’État gardant le reste.
