L’association pour la voie d’eau dans l’Est change de présidence et diversifie ses actifs tout en gardant la réalisation de la liaison grand gabarit Saône-Rhin comme objectif principal.
Association de promotion du transport fluvial établie dans l’Est de la France, le Consortium pour le développement des voies navigables tourne une page du chapitre le plus récent de son histoire. À l’origine de sa relance en 2011, Philippe Richert en quitte la présidence compte tenu de ses fonctions par ailleurs à la tête du Conseil régional du Grand Est et de l’Association des régions de France. Le flambeau est repris en toute logique par la Franc-Comtoise Françoise Branget, qui était déjà présidente déléguée. En tant que députée du Doubs de 2007 à 2012, elle avait activement participé à la rédaction du volet voie d’eau de la loi du Grenelle de l’environnement.
Soutien à "Agir pour le fluvial"
Au-delà de son but général, l’association ne cache pas sa vocation de lobbying en faveur de la relance de la liaison à grand gabarit Saône-Rhin. Elle guettera donc avec grande attention le rendu, en principe prochain, des études préalables du projet Saône-Moselle/Saône-Rhin, ainsi que la révision du Snit (Schéma national des infrastructures routières) qu’elle espère favorable à ses vues. Mais pour ménager l’avenir, son assemblée générale de fin 2016 a décidé de "diversifier l’action en faveur de la voie d’eau". Le premier pas constitue à rejoindre le collectif "Agir pour le fluvial" autour de la CNBA (Chambre nationale de la batellerie artisanale). Le Consortium veut aussi œuvrer à l’amélioration de la desserte trimodale des ports le long de l’axe Rhin-Rhône.
Soutien à "Agir pour le fluvial"
Au-delà de son but général, l’association ne cache pas sa vocation de lobbying en faveur de la relance de la liaison à grand gabarit Saône-Rhin. Elle guettera donc avec grande attention le rendu, en principe prochain, des études préalables du projet Saône-Moselle/Saône-Rhin, ainsi que la révision du Snit (Schéma national des infrastructures routières) qu’elle espère favorable à ses vues. Mais pour ménager l’avenir, son assemblée générale de fin 2016 a décidé de "diversifier l’action en faveur de la voie d’eau". Le premier pas constitue à rejoindre le collectif "Agir pour le fluvial" autour de la CNBA (Chambre nationale de la batellerie artisanale). Le Consortium veut aussi œuvrer à l’amélioration de la desserte trimodale des ports le long de l’axe Rhin-Rhône.
