Le demi-millier d'anciens salariés du transporteur MoryGlobal (ex-Mory Ducros) de la région Île-de-France vont bénéficier d'un accord entre le conseil régional et cinq groupes de transport, dont la SNCF et la RATP, pour favoriser leur reclassement, a annoncé Jean-Paul Huchon le 7 juillet. Cette "convention d'intention" sera formellement signée le 10 juillet, juste avant une séance plénière de l'assemblée régionale à forte connotation emploi et formation.
La SNCF (dont SNCF Réseaux), Transilien (trains de banlieue), la RATP et les opérateurs de bus en banlieue Keolis et Transdev s'engagent à recenser leurs besoins de recrutement et à rencontrer les ex-salariés de Mory Ducros et MoryGlobal. "Cela représente 522 salariés en Ile-de-France, soit un quart des salariés concernés par le plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) en cours", a précisé François Kalfon, conseiller régional chargé d'une mission sur l'emploi. "Les fiches de poste pourraient convenir à 10 à 20% des salariés. Pour les autres, la Région va faire du sur-mesure en termes de formation", a-t-il détaillé.
L'absence d'objectif chiffré de reclassement est "pour éviter ce qui s’était passé pour Mory Ducros, où des annonces fortes avaient été faites mais n'avaient pas été suivies d'effets", a souligné François Kalfon.
La SNCF (dont SNCF Réseaux), Transilien (trains de banlieue), la RATP et les opérateurs de bus en banlieue Keolis et Transdev s'engagent à recenser leurs besoins de recrutement et à rencontrer les ex-salariés de Mory Ducros et MoryGlobal. "Cela représente 522 salariés en Ile-de-France, soit un quart des salariés concernés par le plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) en cours", a précisé François Kalfon, conseiller régional chargé d'une mission sur l'emploi. "Les fiches de poste pourraient convenir à 10 à 20% des salariés. Pour les autres, la Région va faire du sur-mesure en termes de formation", a-t-il détaillé.
L'absence d'objectif chiffré de reclassement est "pour éviter ce qui s’était passé pour Mory Ducros, où des annonces fortes avaient été faites mais n'avaient pas été suivies d'effets", a souligné François Kalfon.