Année de transition avec l'arrivée de Jean-Thomas Schmitt au Comité de direction, 2013 marque la relance de services sur le Maghreb pour Heppner. Si l'ensemble des métiers du groupe familial progressent en 2012, la messagerie France demeure sous pression.
Après l'offre Euromed abandonnée il y a quelques années, le Maghreb est de nouveau une cible commerciale pour Heppner. "Une partie de nos clients, dans l'automotive, l'aéronautique et l'industrie de précision en particulier, réorientent leurs investissements sur cette région et nous sollicitent", explique Jean Schmitt. Ce constat ne se limite pas au groupe : "Les 53 membres de notre réseau européen Système Alliance Europe reçoivent les mêmes demandes et la France est considérée comme le débouché naturel des échanges avec le Maghreb", ajoute le président. Avec l'aide d'un partenaire local dont l'identité sera révélée avant fin juin, cette nouvelle offre sur l'Afrique du Nord couvrira le Maroc, la Tunisie, la Libye et l'Algérie. Elle sera articulée autour des agences de Marseille et de Bordeaux en appui sur le Maroc. "Les deux sites centraliseront les échanges nationaux et de nos partenaires européens".
Bonne résistance des résultats
Année de transition avec la nomination de Jean-Thomas Schmitt en qualité de directeur général délégué appelé à succéder à son père, Jean Schmitt, à la tête de l'entreprise, 2012 affiche un bilan "satisfaisant". En progression de 4,4 %, le chiffre d'affaires s'élève à 573 millions d'euros et dégage un résultat d'exploitation de 6,3 millions d'euros (+ 7,5 %). "Impacté par des charges immobilières non récurrentes", le bénéfice net se contracte de 5 % à 4,7 millions d'euros. Seul métier déficitaire malgré une croissance de 5,3 %, la messagerie France génère 35 % de ses revenus. Suivent les activités terrestres européennes (28 %) en hausse de 1,2 %, l'affrètement national (16 %) en développement de 1,2 %, l'overseas (11 %) en croissance de 11,5 % et la logistique (10 %) en augmentation de 1,7 %.
Bonne résistance des résultats
Année de transition avec la nomination de Jean-Thomas Schmitt en qualité de directeur général délégué appelé à succéder à son père, Jean Schmitt, à la tête de l'entreprise, 2012 affiche un bilan "satisfaisant". En progression de 4,4 %, le chiffre d'affaires s'élève à 573 millions d'euros et dégage un résultat d'exploitation de 6,3 millions d'euros (+ 7,5 %). "Impacté par des charges immobilières non récurrentes", le bénéfice net se contracte de 5 % à 4,7 millions d'euros. Seul métier déficitaire malgré une croissance de 5,3 %, la messagerie France génère 35 % de ses revenus. Suivent les activités terrestres européennes (28 %) en hausse de 1,2 %, l'affrètement national (16 %) en développement de 1,2 %, l'overseas (11 %) en croissance de 11,5 % et la logistique (10 %) en augmentation de 1,7 %.
