La société aéroportuaire de Nice-Côte d’Azur, qui prépare l’entrée de son nouvel actionnaire majoritaire, affiche en août les grandes lignes d’un plan quinquennal où une politique favorable aux compagnies aériennes cohabite avec un programme d’investissement de 220 millions d'euros.
L’aéroport Nice-Côte d’Azur a dévoilé son plan quinquennal 2017-2021. Le document "Contrat de régulation économique", qui fait abstraction des discussions engagées avec le consortium franco-italien Azzura, futur actionnaire majoritaire, affiche à la fois la politique commerciale et un plan d’investissement de mise à niveau d’une plateforme dont les terminaux actuels arrivent à saturation.
Le plan évoque le Contrat de compétitivité territoriale signé en 2015 avec politique incitative pour les compagnies à base de gel ou de réduction des redevances aéroportuaires et prise en charge du risque lié à l’ouverture de lignes. De quoi favoriser une croissance de trafic de 2,5 % par an (4 % à fin juillet).
220 millions d'euros d'investissements
Les investissements programmés jusqu’en 2021 mobilisent 220 millions d'euros contre 263 millions d'euros sur la période 2012-2016. Ils sont établis à partir de ce scénario. Sont programmés la poursuite de la rénovation des Terminaux 1 et 2 afin de porter leur capacité à 18 millions de passagers, contre 13,5 millions actuellement, dont 5,5 millions pour le T1 et 8 millions pour le T2.
Le plan évoque le Contrat de compétitivité territoriale signé en 2015 avec politique incitative pour les compagnies à base de gel ou de réduction des redevances aéroportuaires et prise en charge du risque lié à l’ouverture de lignes. De quoi favoriser une croissance de trafic de 2,5 % par an (4 % à fin juillet).
220 millions d'euros d'investissements
Les investissements programmés jusqu’en 2021 mobilisent 220 millions d'euros contre 263 millions d'euros sur la période 2012-2016. Ils sont établis à partir de ce scénario. Sont programmés la poursuite de la rénovation des Terminaux 1 et 2 afin de porter leur capacité à 18 millions de passagers, contre 13,5 millions actuellement, dont 5,5 millions pour le T1 et 8 millions pour le T2.