La Banque européenne d'investissement (BEI) et la Société Générale ont signé à La Rochelle la semaine dernière, dans le cadre des 12e Assises de l'économie de la mer, un accord visant à soutenir la construction de navires respectant les contraintes environnementales.
Dans le doit fil de la COP22 qui se tient à Marrakech, Ambroise Fayolle, vice-président de la Banque Européenne d'Investissement (BEI), et Frédéric Surdon, responsable mondial des Financements d'actifs chez Société Générale CIB, ont signé mardi 8 novembre un accord cadre de garantie d'un montant global de 150 millions d'euros visant à soutenir des projets de construction navale favorisant le transport durable et la protection de l'environnement.
La signature s'est déroulée aux Assises de l'économie de la mer à La Rochelle, en présence d'Alain Vidalies, secrétaire d'État chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche, de Frédéric Moncany de Saint-Aignan, président du Cluster maritime français (CMF) et de Gildas Maire, président des Armateurs de France.
L'accord cadre n'aurait pas été signé sans le concours du Plan Juncker et du Mécanisme pour l'interconnexion en Europe (CEF). Il s'agit de la première concrétisation en Europe du nouveau mécanisme européen de garantie pour le "verdissement" du transport maritime, saluée par Alain Vidalies, secrétaire d’État chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche. Selon lui, "le gouvernement avait décidé lors du Cimer d'octobre 2015 de soutenir la mise en place de cet outil financier en acceptant le principe d'un exercice pilote en France. Nous consacrons ici une première illustration de cette dynamique qui, je l'espère, se répercutera sur notre économie maritime et provoquera des conventions de même type dans d'autres secteurs, notamment le portuaire".
La signature s'est déroulée aux Assises de l'économie de la mer à La Rochelle, en présence d'Alain Vidalies, secrétaire d'État chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche, de Frédéric Moncany de Saint-Aignan, président du Cluster maritime français (CMF) et de Gildas Maire, président des Armateurs de France.
L'accord cadre n'aurait pas été signé sans le concours du Plan Juncker et du Mécanisme pour l'interconnexion en Europe (CEF). Il s'agit de la première concrétisation en Europe du nouveau mécanisme européen de garantie pour le "verdissement" du transport maritime, saluée par Alain Vidalies, secrétaire d’État chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche. Selon lui, "le gouvernement avait décidé lors du Cimer d'octobre 2015 de soutenir la mise en place de cet outil financier en acceptant le principe d'un exercice pilote en France. Nous consacrons ici une première illustration de cette dynamique qui, je l'espère, se répercutera sur notre économie maritime et provoquera des conventions de même type dans d'autres secteurs, notamment le portuaire".