Le tribunal de commerce de Marseille doit examiner les quatre offres de reprise de la SNCM, sauf énième surprise dans un dossier marqué par de nombreux reports depuis le placement en redressement judiciaire de la compagnie il y a quasiment un an.
Mercredi 4 novembre, la SNCM revient devant le tribunal pour l'examen des offres de reprise. Depuis la rentrée scolaire en septembre, l'examen de ces offres - qui prévoient toutes plusieurs centaines de suppressions d'emplois - a déjà été repoussé trois fois : la dernière, le 28 octobre en raison de la grève des avocats contre la réforme de l'aide juridictionnelle.
Quatre offres sont en lice
Quatre offres sont en lice pour reprendre la compagnie maritime, qui compte un peu plus de 1.400 salariés en CDI : celle de la compagnie de transport basée en Floride Baja Ferries de l'homme d'affaires Daniel Berrebi, celle du transporteur corse Rocca, celle du consortium d'entreprises corses Corsica Maritima (CM Holding) et celle de l'ancien président du port Christian Garin, associé à l'armateur grec Arista. Aucune amélioration de ces offres n'était possible depuis le dernier renvoi.
Quatre offres sont en lice
Quatre offres sont en lice pour reprendre la compagnie maritime, qui compte un peu plus de 1.400 salariés en CDI : celle de la compagnie de transport basée en Floride Baja Ferries de l'homme d'affaires Daniel Berrebi, celle du transporteur corse Rocca, celle du consortium d'entreprises corses Corsica Maritima (CM Holding) et celle de l'ancien président du port Christian Garin, associé à l'armateur grec Arista. Aucune amélioration de ces offres n'était possible depuis le dernier renvoi.