L'amélioration de la desserte terrestre des Grands Ports maritimes français, qui est devenue un des axes de leurs stratégies, a fait l'objet à Marseille d'une conférence dans le cadre des Assises de l'économie de la mer. La massification des flux reste bel et bien le dénominateur commun entre navettes fluviales, ferroviaires et lignes de short sea shipping.
La desserte terrestre a-t-elle progressé dans les ports français ? Telle est la question qui a été posée lors des 11e Assises de l'économie de la mer qui se sont déroulées à Marseille début novembre.
La présidente du directoire du Grand Port maritime de Marseille (GPMM), Christine Cabau-Woehrel, explique le rôle que l'établissement portuaire joue sur l'hinterland : "Nous sortons de la réforme portuaire". Le port est devenu aujourd'hui à ses yeux "un acteur de la chaîne logistique. Il en est un coordonnateur". Et d'ajouter : "Notre mission est d'être une courroie de transmission".
"La problématique des quais est derrière nous"
La directrice générale du GPMM en veut pour preuve que pas moins de cinq navettes ferroviaires ont été ouvertes cette année. "La problématique des quais étant derrière nous. Ce rôle d'architecte logistique est inscrit dans nos nouvelles missions", insiste-t-elle.
La présidente du directoire du Grand Port maritime de Marseille (GPMM), Christine Cabau-Woehrel, explique le rôle que l'établissement portuaire joue sur l'hinterland : "Nous sortons de la réforme portuaire". Le port est devenu aujourd'hui à ses yeux "un acteur de la chaîne logistique. Il en est un coordonnateur". Et d'ajouter : "Notre mission est d'être une courroie de transmission".
"La problématique des quais est derrière nous"
La directrice générale du GPMM en veut pour preuve que pas moins de cinq navettes ferroviaires ont été ouvertes cette année. "La problématique des quais étant derrière nous. Ce rôle d'architecte logistique est inscrit dans nos nouvelles missions", insiste-t-elle.