La société informatique marseillaise Marseille Gyptis International (MGI) présentera à l'occasion de son trentième anniversaire en décembre Cargo intelligence 5 (Ci5), la nouvelle génération de son Cargo Community System (CCS), qui remplacera AP+ dans la cité phocéenne.
Le 3 décembre, au palais du Pharo de Marseille, l'entreprise trentenaire MGI présentera le pilote de Cargo intelligence 5 (Ci5), le CCS qui remplacera AP+. Une équipe interne dédiée à son renouveau a été constituée il y un an. Baptisée Arrow (Air Rail Road Ocean Waterways), cette cellule, dirigée par Fabrine Frestel, directrice de projet chez MGI, a collecté les besoins des utilisateurs du CCS AP+ et de ses différents modules. Un questionnaire a été élaboré pour collecter les attentes et les pistes d’évolution vis-à-vis du nouveau CCS.
Les résultats ont été complétés à l'occasion de rencontres par métier. Ces ateliers professionnels (qui ont regroupé des transitaires, des agent maritimes et armateurs, des manutentionnaires, des compagnie aériennes, des transporteurs routiers, etc.) ont permis d’échanger sur les points forts de la solution actuelle, sur les améliorations possibles, sur les perspectives d’évolution des métiers et sur les innovations qui auront un impact sur les processus opérationnels.
MGI dit avoir consulté des experts externes, notamment des représentants du Centre des Nations unies pour la facilitation du commerce et des transactions électroniques (UN/Cefact), du ministère des Transports et des pôles de compétitivité pour disposer d’une "large vision des nouvelles technologies et d’une prospective sur les transports de demain".
MGI et Soget travaillent à la création d'un CCS national
La nouvelle génération du CCS a l'ambition de répondre aux exigences du futur code des douanes de l’Union européenne, à la directive européenne 2010/65 et notamment de s'adapter à la nécessité de dématérialisation des formalités déclaratives liées au navire, explique-t-on à la direction de l'entreprise.
"MGI et l'entreprise havraise Soget, co-propriétaires de la solution AP+, travaillent également de concert pour créer un CCS national afin de rendre les ports et aéroports français plus compétitifs", précise-t-on à Marseille.
Les résultats ont été complétés à l'occasion de rencontres par métier. Ces ateliers professionnels (qui ont regroupé des transitaires, des agent maritimes et armateurs, des manutentionnaires, des compagnie aériennes, des transporteurs routiers, etc.) ont permis d’échanger sur les points forts de la solution actuelle, sur les améliorations possibles, sur les perspectives d’évolution des métiers et sur les innovations qui auront un impact sur les processus opérationnels.
MGI dit avoir consulté des experts externes, notamment des représentants du Centre des Nations unies pour la facilitation du commerce et des transactions électroniques (UN/Cefact), du ministère des Transports et des pôles de compétitivité pour disposer d’une "large vision des nouvelles technologies et d’une prospective sur les transports de demain".
MGI et Soget travaillent à la création d'un CCS national
La nouvelle génération du CCS a l'ambition de répondre aux exigences du futur code des douanes de l’Union européenne, à la directive européenne 2010/65 et notamment de s'adapter à la nécessité de dématérialisation des formalités déclaratives liées au navire, explique-t-on à la direction de l'entreprise.
"MGI et l'entreprise havraise Soget, co-propriétaires de la solution AP+, travaillent également de concert pour créer un CCS national afin de rendre les ports et aéroports français plus compétitifs", précise-t-on à Marseille.