Le Brexit suscite de nombreuses questions non seulement auprès du secteur transmanche mais également auprès des acteurs du shipping international. La place londonienne continuera-t-elle à conserver sa place en Europe et dans le monde avec la dévaluation de la livre sterling ? Un débat lancé à La Rochelle lors des dernières Assises de l'économie maritime...
Une fois les conséquences du Brexit mises en œuvre, Londres va-t-elle continuer à occuper la première place financière et juridique dans le monde maritime, la troisième position en matière d'attractivité et de compétitivité, la huitième sur le registre de technologie maritime ?
Le gouvernement submergé par l'ampleur de la tâche
Quand Londres va changer de place au classement actuel des ports mondiaux de BRS ? Son vice-président, François Cadiou, qui est intervenu à La Rochelle lors des Assises de l'économie de la mer, estime que "le Brexit aura peu d'impact sur le transport maritime mondial". Pour l'heure, il est convaincu que le gouvernement de Theresa May va être "submergé par l'ampleur de la tâche !" et estime que la baisse de la livre sterling va constituer "un avantage pour les importations britanniques".
Après avoir souligné que le taux d'imposition en Grande-Bretagne s'élève aujourd'hui à 20 % contre 22 % en Europe, il rappelle que le Brexit est "une réaction contre la globalisation". Londres va-t-il devenir le Singapour maritime mondial ? La question reste posée.
Le gouvernement submergé par l'ampleur de la tâche
Quand Londres va changer de place au classement actuel des ports mondiaux de BRS ? Son vice-président, François Cadiou, qui est intervenu à La Rochelle lors des Assises de l'économie de la mer, estime que "le Brexit aura peu d'impact sur le transport maritime mondial". Pour l'heure, il est convaincu que le gouvernement de Theresa May va être "submergé par l'ampleur de la tâche !" et estime que la baisse de la livre sterling va constituer "un avantage pour les importations britanniques".
Après avoir souligné que le taux d'imposition en Grande-Bretagne s'élève aujourd'hui à 20 % contre 22 % en Europe, il rappelle que le Brexit est "une réaction contre la globalisation". Londres va-t-il devenir le Singapour maritime mondial ? La question reste posée.
