Officiellement constitué début 2012, le GIE Haropa, qui réunit les trois ports de l'axe Seine, Paris, Rouen et Le Havre, vient de publier son premier rapport d'activité. Il revient sur sa première année d'exercice et va poursuivre les partenariats.
En créant le GIE Haropa, les directeurs des ports entendaient donner à l'axe Seine une dimension internationale. "Dans un contexte de tension économique et de défi de compétitivité, compter parmi les grandes puissances maritimes et figurer au cœur des grands réseaux commerciaux est crucial", souligne le GIE. Donner de la force à l'ensemble portuaire en Europe, répondre aux attentes des clients, valoriser les savoirs-faire et devenir un hub de premier plan, figurent parmi les objectifs du GIE. Aujourd'hui, Haropa occupe la cinquième position en Europe et représente déjà plus de 160.000 emplois directs et indirects. "Notre objectif est d'aller encore plus loin pour libérer leur potentiel et faire en sorte que l'industrie portuaire soit porteuse de croissance".
Travail intense pour la première année
Le rapport d'activité du GIE, qui vient d'être publié, passe en revue tous les développements de Haropa ainsi que les évolutions de ses trois composantes. "2012 fut une année de travail intense pour construire Haropa, une année mitigée sur le plan des trafics, avec des filières historiques ayant souffert", explique Benoît Melonio, directeur général délégué de Haropa. Si le trafic maritime s'est contracté de 9 % sous l'effet d'une diminution des trafics des vracs, le trafic fluvial a enregistré pour sa part une croissance de 3 %, progression affectant tous les trafics.
Travail intense pour la première année
Le rapport d'activité du GIE, qui vient d'être publié, passe en revue tous les développements de Haropa ainsi que les évolutions de ses trois composantes. "2012 fut une année de travail intense pour construire Haropa, une année mitigée sur le plan des trafics, avec des filières historiques ayant souffert", explique Benoît Melonio, directeur général délégué de Haropa. Si le trafic maritime s'est contracté de 9 % sous l'effet d'une diminution des trafics des vracs, le trafic fluvial a enregistré pour sa part une croissance de 3 %, progression affectant tous les trafics.
