Le groupe allemand de transport aérien Lufthansa a fait état d'une hausse de 2,4 % sur un an de son trafic passagers en novembre, en passager kilomètre transporté (PKT), tout en se disant une nouvelle fois victime d'une érosion des tarifs.
Lufthansa a annoncé mardi 9 décembre une hausse de 2,4 % du trafic passagers en novembre. En volume, l'ensemble des compagnies du groupe (Lufthansa, Germanwings, Swiss et Austrian Airlines) ont transporté 7,9 millions de voyageurs durant ce mois, soit 0,9 % de plus qu'à la même période en 2013.
Lufthansa, numéro un européen du transport aérien, est engagé dans une vaste rénovation de sa flotte au profit d'un nombre plus réduit d'appareils mais dotés d'une meilleure capacité de transport et moins gourmands en kérosène. Cette stratégie s'est traduite par une diminution de 4,3 % sur un an du nombre de ses vols en novembre, alors que les capacités ont, elles, augmenté de 2,3 % sur la même période. Lufthansa fait toutefois état d'un "développement des prix clairement négatif par rapport à l'année dernière", le résultat d'une concurrence féroce dans le secteur du transport aérien en Europe. Conformément à son plan de vol d'hiver déjà dévoilé, le groupe vise à réduire ses capacités sur les liaisons court-courrier, moins lucratives, pour accroître celles des vols intercontinentaux, qui lui assurent de meilleurs revenus.
Lufthansa, numéro un européen du transport aérien, est engagé dans une vaste rénovation de sa flotte au profit d'un nombre plus réduit d'appareils mais dotés d'une meilleure capacité de transport et moins gourmands en kérosène. Cette stratégie s'est traduite par une diminution de 4,3 % sur un an du nombre de ses vols en novembre, alors que les capacités ont, elles, augmenté de 2,3 % sur la même période. Lufthansa fait toutefois état d'un "développement des prix clairement négatif par rapport à l'année dernière", le résultat d'une concurrence féroce dans le secteur du transport aérien en Europe. Conformément à son plan de vol d'hiver déjà dévoilé, le groupe vise à réduire ses capacités sur les liaisons court-courrier, moins lucratives, pour accroître celles des vols intercontinentaux, qui lui assurent de meilleurs revenus.
