En réaction à la position de la Cour des comptes qui s'interroge sur le rôle du secrétariat général de la Mer (SGMer), l’association Mor Glaz monte au créneau. "Supprimer (cette institution) serait une grave erreur. Elle doit cependant être plus libre et affirmer son indépendance".
L’association prône pour le maintien du SGMer, "car il doit redevenir utile aux marins et à toutes les activités maritimes". Elle estime toutefois que "son secrétaire général doit être plus libre", "reprendre son indépendance vis-à-vis de la Marine nationale et autres conseillers issus de milieux" écartés du maritime. À ses yeux, le SGMer doit représenter "un vrai interlocuteur capable de prendre des décisions en temps réel". Elle cite à cet égard l'exemple du "MSC Flaminia". Elle se dit persuadée que son secrétaire "doit être issu du monde maritime. Il doit être un vrai levier, capable de résoudre les difficultés et répondre aux interrogations des professionnels du monde maritime. Il doit être (également) attentif aux doléances des professionnels et des militants du secteur, il doit être «redevenir» indépendant de toute influence, ce qui n’est pas plus le cas depuis plusieurs années".
Sécurité maritime dans le golfe de Gascogne, déconstruction des navires, droit social des marins, abandons des marins et des navires, piraterie... Tous les sujets qui préoccupent actuellement l’association et les syndicats maritimes devraient transiter par le SGMer et y trouver des solutions, estime l'association qui prône un "changement de cap". Et de rappeler que sa "disparition serait un signe du désintérêt du gouvernement pour les activités maritimes, du pavillon français et des marins".
L’association prône pour le maintien du SGMer, "car il doit redevenir utile aux marins et à toutes les activités maritimes". Elle estime toutefois que "son secrétaire général doit être plus libre", "reprendre son indépendance vis-à-vis de la Marine nationale et autres conseillers issus de milieux" écartés du maritime. À ses yeux, le SGMer doit représenter "un vrai interlocuteur capable de prendre des décisions en temps réel". Elle cite à cet égard l'exemple du "MSC Flaminia". Elle se dit persuadée que son secrétaire "doit être issu du monde maritime. Il doit être un vrai levier, capable de résoudre les difficultés et répondre aux interrogations des professionnels du monde maritime. Il doit être (également) attentif aux doléances des professionnels et des militants du secteur, il doit être «redevenir» indépendant de toute influence, ce qui n’est pas plus le cas depuis plusieurs années".
Sécurité maritime dans le golfe de Gascogne, déconstruction des navires, droit social des marins, abandons des marins et des navires, piraterie... Tous les sujets qui préoccupent actuellement l’association et les syndicats maritimes devraient transiter par le SGMer et y trouver des solutions, estime l'association qui prône un "changement de cap". Et de rappeler que sa "disparition serait un signe du désintérêt du gouvernement pour les activités maritimes, du pavillon français et des marins".
