Les dockers espagnols ont entamé le 5 juin un mouvement de grève suivi quasiment à 100 % dans tout le pays, contre la réforme libéralisant leur emploi adoptée en mai.
Le syndicat Coordination des travailleurs de la mer espagnols a déposé un préavis de grève du travail portuaire courant jusqu'au 24 juin. Le mouvement annoncé consiste en des arrêts de travail une heure sur deux.
"Le suivi de la grève est pratiquement total", avec des arrêts dans tous les ports d'Espagne à l'exception de Carthagène, a confirmé le ministère de l'Équipement. Ce dernier remarque que plusieurs sociétés de manutention avaient réduit au minimum le nombre de travailleurs dont elles avaient besoin, en raison du peu d'opérations prévues lundi 5 juin, notamment à Barcelone, où ce jour était férié, et Algésiras.
Les principaux syndicats de travailleurs portuaires rejettent la réforme qui génère "une profonde insécurité de l'emploi pour tout le personnel et ouvre une période d'instabilité pour le secteur", selon le texte de leur préavis de grève. Ils exigent l'ouverture d'un nouveau processus de négociation.
"Le suivi de la grève est pratiquement total", avec des arrêts dans tous les ports d'Espagne à l'exception de Carthagène, a confirmé le ministère de l'Équipement. Ce dernier remarque que plusieurs sociétés de manutention avaient réduit au minimum le nombre de travailleurs dont elles avaient besoin, en raison du peu d'opérations prévues lundi 5 juin, notamment à Barcelone, où ce jour était férié, et Algésiras.
Les principaux syndicats de travailleurs portuaires rejettent la réforme qui génère "une profonde insécurité de l'emploi pour tout le personnel et ouvre une période d'instabilité pour le secteur", selon le texte de leur préavis de grève. Ils exigent l'ouverture d'un nouveau processus de négociation.