La 33e édition de la SITL a ouvert ses portes mardi 22 mars au Parc des Expositions de Villepinte pour quatre journées. La version Europe de ce salon dédié au transport et à la logistique poursuit sa stratégie pluridisplinaire en ajoutant à ses journée maritime ("maritime day") et ferroviaire un "overseas day" (commission de transport international) dédié au mode fluvial et aux matières dangereuses.
"Nous avons décidé de faire évoluer cet événement généraliste pour le transformer en événement multispécialiste", a annoncé Alain Bagnaud, le directeur général de Reed Exhibitions, l'entreprise organisatrice de la SITL qui retrouve cette année sa dimension européenne en retournant au parc des expositions de Villepinte. Après avoir fait de sa journée ferroviaire un incontournable puis avoir ancré sur le marché son "maritime day", le salon SITL gagne du terrain dans le secteur très large de l'"overseas" en ajoutant deux thématiques de plus.
Le transport fluvial et les matières dangereuses devaient attirer cette année des exposants et des visiteurs supplémentaires. En outre, l'Afrique figurait également comme thématique pays.
"Le défi sécuritaire est devant nous"
Hervé Juvin, président d'Eurogroup Consulting, estime que la logistique devrait acquérir dans les prochaines années "une reconnaissance". Autre enjeu de taille, "la protection de l'environnement qui devrait peser de plus en plus". Il se dit également persuadé que "la dérégulation, c'est fini !". Il estime que le secteur s'achemine vers une "rerégulation". Enfin, raccrochant son propos aux derniers attentats qui venaient de se dérouler le jour-même à Bruxelles, il constatait que "le défi sécuritaire est devant nous". Un enjeu qui remet en question les progrès techniques les plus accomplis.
Le transport fluvial et les matières dangereuses devaient attirer cette année des exposants et des visiteurs supplémentaires. En outre, l'Afrique figurait également comme thématique pays.
"Le défi sécuritaire est devant nous"
Hervé Juvin, président d'Eurogroup Consulting, estime que la logistique devrait acquérir dans les prochaines années "une reconnaissance". Autre enjeu de taille, "la protection de l'environnement qui devrait peser de plus en plus". Il se dit également persuadé que "la dérégulation, c'est fini !". Il estime que le secteur s'achemine vers une "rerégulation". Enfin, raccrochant son propos aux derniers attentats qui venaient de se dérouler le jour-même à Bruxelles, il constatait que "le défi sécuritaire est devant nous". Un enjeu qui remet en question les progrès techniques les plus accomplis.