Transport maritime mondial en mutation et conjoncture économique incertaine : le STH, réuni à l’occasion de son assemblée générale, déplore l’absence de visibilité du secteur.
Le président du Syndicat des transitaires et des commissionnaires en douane (STH), Jean-Louis Le Yondre, a affiché un optimisme plus mesuré qu’en 2013, lors du point établi devant les acteurs de la place portuaire après l’assemblée générale du 13 juin : "Nous sommes peuplés d’incertitudes", a-t-il lancé. "La mouvance des grands armateurs n’est pas totalement définie, le choix de nos terminaux appropriés à servir les grands armateurs connaît quelques turbulences et il est extrêmement difficile de gouverner nos professions" a-t-il ajouté.
Difficile donc de se projeter vers l’avenir : "Quand les technologies nous permettent d’avoir des radars qui perçoivent le moindre détail via les voies satellitaires à plus de 250 km, tout dirigeant, quel que soit son domaine, navigue aujourd’hui le nez sur la pointe du navire". Aux incertitudes en matière de transport maritime mondial, s’ajoutent, selon Jean-Louis Le Yondre, "celles de la fiscalité française et européenne ainsi que la timidité des banques, problématique en termes d’investissements".
Difficile donc de se projeter vers l’avenir : "Quand les technologies nous permettent d’avoir des radars qui perçoivent le moindre détail via les voies satellitaires à plus de 250 km, tout dirigeant, quel que soit son domaine, navigue aujourd’hui le nez sur la pointe du navire". Aux incertitudes en matière de transport maritime mondial, s’ajoutent, selon Jean-Louis Le Yondre, "celles de la fiscalité française et européenne ainsi que la timidité des banques, problématique en termes d’investissements".
