Le Conseil de développement du Grand Port maritime de Marseille (GPMM) et les participants des quatre groupes de travail de "concertation continue" sur l'avenir de la zone industrialo-portuaire de Fos se retrouvent le vendredi 26 octobre à la salle municipale Marcel-Pagnol de Port-Saint-Louis-du-Rhône pour restituer le fruit des vingt réunions qui se sont déroulées depuis le mois de février. Les perspectives économiques, les mutations industrielles, le codéveloppement des activités, la biodiversité, le report modal et l'intégration territoriale ont été les thèmes sur lesquels ont travaillé ces groupes tout au long de l'année. Ces thèmes, choisis par les participants, ont été mis en place dans l'objectif de produire un "diagnostic partagé de la zone industrialo-portuaire."
L'ordre du jour de la réunion du 26 octobre est la restitution de ce diagnostic. Cette rencontre constituera la première étape de la concertation. Cette première étape sera suivie d'un travail de plus longue haleine visant à produire un "projet de territoire" partagé par les différents acteurs.
Jean-Marc Charrier, le maire de Port-Saint-Louis du Rhône, a souligné qu'un terrain d'entente avait été trouvé. "C'est un défi pour les trente prochaines années. Nos prédécesseurs ont raté le précédent".
Le président du Conseil de développement du GPMM, Marc Reverchon, qui rappelle que les relations s'étaient tendues est convaincu qu'"il faut dépasser les conflits d'intérêt". Il estime que la "charte ville-port devrait être signée par un nombre d'acteurs très grand".
L'ordre du jour de la réunion du 26 octobre est la restitution de ce diagnostic. Cette rencontre constituera la première étape de la concertation. Cette première étape sera suivie d'un travail de plus longue haleine visant à produire un "projet de territoire" partagé par les différents acteurs.
Jean-Marc Charrier, le maire de Port-Saint-Louis du Rhône, a souligné qu'un terrain d'entente avait été trouvé. "C'est un défi pour les trente prochaines années. Nos prédécesseurs ont raté le précédent".
Le président du Conseil de développement du GPMM, Marc Reverchon, qui rappelle que les relations s'étaient tendues est convaincu qu'"il faut dépasser les conflits d'intérêt". Il estime que la "charte ville-port devrait être signée par un nombre d'acteurs très grand".