Les deux grands transporteurs de brut pourraient sortir de l'ornière dans laquelle l'échec de la fusion et la procédure d'arbitrage qui s'en est suivie les ont poussés. Euronav et Frontline ont confirmé qu'un accord est en cours de négociation sous la forme d'un échange de navires contre des actions. La Compagnie maritime belge reprend le contrôle.
« Les discussions entre les parties sont bien avancées. Cependant, il n'y a aucune certitude qu’elles aboutiront à un accord (…) Si les négociations parviennent à un accord formel, celui-ci sera soumis aux autorisations habituelles de la concurrence et aux procédures d'approbation requises auprès des autorités des marchés financiers en Belgique et aux États-Unis », peut-on lire dans les communiqués écrits dans les mêmes termes mais envoyés distinctement par les deux parties, Euronav et Frontline.Acculés par des fuites dans la presse à l'issue du week-end dernier, qui ont provoqué une volatilité…
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