Plus de neuf mois après avoir suspendu ses activités de croisière dans le monde entier, le leader mondial du secteur fait état de près de 2 Md$ de pertes financières et a vendu son 18e navire. Les dirigeants annoncent néanmoins disposer des liquidités nécessaires pour tenir le siège d’une année supplémentaire sans revenus.
Il faut avoir les nerfs accrochés et les reins solides. Plus de neuf mois après avoir suspendu ses activités de croisière dans le monde entier, le leader mondial de la croisière, dont seuls quelques navires ont repris du service, est considérablement fragilisé par la crise sanitaire mondiale. Le groupe américain, qui détient 50 % du marché mondial des croisières et dix des marques les plus connues de la planète (Carnival Cruise Line, Princess Cruises, P&O Cruises, P&O Cruises Australie, Costa, AIDA, Holland American Line, Cunard et Seabourn), fait état de près de 2 Md$ de pertes financières. Et dans le cadre d'un plan visant à…
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