Selon la société de classification Lloyd’s Register, les deux premières générations de méthaniers, soit 400 unités sur les 610 que compte la flotte mondiale, répondront difficilement aux prochaines exigences de l’OMI. Dans le contexte actuel, où le GNL est la seule alternative immédiatement disponible pour remplacer le charbon dans la production d’électricité, leur non-conformité réglementaire risque de retarder la décarbonation.
Le monde est imparfait. Les méthaniers qui transportent du GNL, énergie de transition entre le charbon noir Soulage et une énergie moins invasive pour la planète, font peser un risque sur la décarbonation dans la mesure où ils parviendraient difficilement à répondre aux normes réglementaires qui entreront en vigueur et de façon crescendo dans les deux ans qui viennent. C’est que tend à prouver la société de classification Lloyd’s Register dans une note bien amenée.
Porté par l’exceptionnelle conjoncture,…
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