Dans un scénario post-2M à partir de 2025 où il ne pourra plus bénéficier des ressources de son partenaire MSC, le numéro deux mondial dans le transport de conteneurs doit compenser son défaut de capacités, n'ayant pas opté pour la commande débridée de navires neufs. Il a fait le choix de la jumboïsation et est le premier à déclasser ses moteurs.
Maersk n'a pas cédé aux achats compulsifs de navires que ses abondantes liquidités auraient autorisés. L'armateur danois n'attend cette année que l'équivalent d'une capacité de 28 000 EVP, un peu plus en 2024 (144 000 EVP) et 2025 (132 000 EVP), correspondant en grande partie de la livraison de sa flotte au méthanol (19 unités, 25 avec les options). On lui prête deux autres séries de quatre porte-conteneurs de 5 900 EVP à livrer en 2026. Mais l'information relève encore des bruits de couloirs (cependant fiables) et reste à confirmer.En cela, il fait bande à part par rapport à ses concurrents…
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