Le 20 novembre, la Direction générale de l'aviation civile (DGAC) a émis des réserves au déploiement de la 5G à proximité des aéroports. La DGAC "redoute que ces premières antennes 5G (une douzaine au total sont concernées) ne perturbent les systèmes de guidage à l'intérieur des avions".
"Il n'y a pas de blocage. Nous sommes dans le cadre d'une procédure normale qui vise à s'assurer de la cohabitation en toute sécurité de tous les usages au sein des bandes de fréquence et donc précisément à éviter tout risque", a indiqué la DGAC.
Avant de mettre en route un site de téléphonie mobile, les opérateurs ont l'obligation de procéder à une déclaration auprès de l'Agence nationale des fréquences (ANFR) pour permettre à d'éventuels autres utilisateurs du spectre d'émettre des réserves afin d'éviter tout risque de concurrence ou de brouillage des ondes. Les opérateurs ont soumis leurs premières demandes d'autorisation pour les antennes 5G dans la bande 3,5 gigahertz quelques jours après la fin des enchères le 20 octobre. Et les premiers retours ont été faits le lendemain aux opérateurs.
"Pour environ 5 % des demandes, des analyses techniques complémentaires en cours visent à s'assurer de la compatibilité de ces stations avec les besoins de l'aviation civile", ajoute l'organisation. Selon la DGAC, des mesures existent pour établir "un zonage de protection" autour des aéroports et "elles sont adaptées pour la 5G comme à chaque évolution technologique".
"Il n'y a pas de blocage. Nous sommes dans le cadre d'une procédure normale qui vise à s'assurer de la cohabitation en toute sécurité de tous les usages au sein des bandes de fréquence et donc précisément à éviter tout risque", a indiqué la DGAC.
Avant de mettre en route un site de téléphonie mobile, les opérateurs ont l'obligation de procéder à une déclaration auprès de l'Agence nationale des fréquences (ANFR) pour permettre à d'éventuels autres utilisateurs du spectre d'émettre des réserves afin d'éviter tout risque de concurrence ou de brouillage des ondes. Les opérateurs ont soumis leurs premières demandes d'autorisation pour les antennes 5G dans la bande 3,5 gigahertz quelques jours après la fin des enchères le 20 octobre. Et les premiers retours ont été faits le lendemain aux opérateurs.
"Pour environ 5 % des demandes, des analyses techniques complémentaires en cours visent à s'assurer de la compatibilité de ces stations avec les besoins de l'aviation civile", ajoute l'organisation. Selon la DGAC, des mesures existent pour établir "un zonage de protection" autour des aéroports et "elles sont adaptées pour la 5G comme à chaque évolution technologique".