
© Maersk Line
Au cours du deuxième trimestre, A.P. Moller-Maersk a vu son bénéfice net part du groupe reculer à 5,26 milliards de couronnes (706,6 millions d'euros). D'avril à juin, le géant maritime et pétrolier danois, a donc vu ses profits fondre de 19 %. Sur la même période, le chiffre d'affaires du groupe s'est élevé à 88,8 milliards de couronnes, une hausse de 11 % en glissement annuel, inférieure aux attentes des analystes interrogés par Dow Jones Newswires qui avaient tablé sur un chiffre d'affaires de 90 milliards.
Maersk Line en net progrès
Sa principale filiale Maersk Line, numéro un mondial de la ligne maritime conteneurisée, affiche un bon deuxième trimestre grâce à des volumes transportés en hausse de 11 % et à une restructuration qui prévoit quelque 400 suppressions de postes. De leur côté, les activités pétrolières du groupe, soit la branche Maersk Oil, ont été affectées par une baisse de 17 % de la production, à 287.000 barils par jour lors du trimestre, contre 346.000 un an auparavant.
Maersk a toutefois révisé à la hausse ses prévisions pour l'année, tablant sur un résultat "légèrement supérieur" à celui de 2011, alors que jusque-là il prévoyait un bénéfice "légèrement inférieur". Cependant, a prévenu le groupe, "les prévisions pour 2012 sont sujettes à des incertitudes considérables", concernant l'évolution de l'économie mondiale, celle du prix du baril de pétrole et des tarifs du fret, qui ont une incidence importante sur les résultats de Maersk.
Maersk Line en net progrès
Sa principale filiale Maersk Line, numéro un mondial de la ligne maritime conteneurisée, affiche un bon deuxième trimestre grâce à des volumes transportés en hausse de 11 % et à une restructuration qui prévoit quelque 400 suppressions de postes. De leur côté, les activités pétrolières du groupe, soit la branche Maersk Oil, ont été affectées par une baisse de 17 % de la production, à 287.000 barils par jour lors du trimestre, contre 346.000 un an auparavant.
Maersk a toutefois révisé à la hausse ses prévisions pour l'année, tablant sur un résultat "légèrement supérieur" à celui de 2011, alors que jusque-là il prévoyait un bénéfice "légèrement inférieur". Cependant, a prévenu le groupe, "les prévisions pour 2012 sont sujettes à des incertitudes considérables", concernant l'évolution de l'économie mondiale, celle du prix du baril de pétrole et des tarifs du fret, qui ont une incidence importante sur les résultats de Maersk.