L’AFT-Iftim a donné le coup d’envoi de la charte régionale de prévention des addictions dans le transport routier et la logistique en Alsace, qu’ont signée trois syndicats de salariés et les représentants régionaux de la FNTR, de TLF, de la FNTV (Fédération nationale des transports de voyageurs) et de l’Aslog.
L’Alsace est la sixième région à déployer l’initiative, après l’Auvergne, Paca, l’Île-de-France, l’Aquitaine et Midi-Pyrénées.
Élément principal, le kit de sensibilisation a déjà été distribué à 1.200 exemplaires en quelques semaines. «Nous dépasserons donc très probablement l’objectif de 1.500 sensibilisations au bout d’un an», se réjouit Sophie Bouvier, déléguée régionale de l’AFT. Sur trois ans, l’objectif est de toucher 4.000 salariés en Alsace, soit un cinquième de l’effectif du secteur transport-logistique régional. Le kit donne accès à une multitude d’informations : conseils d’addictologues, tests médicaux, exercices physiques. Et pour les employeurs des informations sur la réglementation, particulièrement précieuses pour les PME qui ne peuvent les suivre au jour le jour.
Le groupe de travail d’une dizaine d’employeurs et médecins du travail qui a préparé l’action a souhaité aborder un maximum de questions : les addictions «classiques» comme l’alcool, le tabac et les drogues, mais aussi celle aux jeux vidéo ou au téléphone portable. Il a insisté sur les conséquences sur l’hygiène de vie : problèmes de santé, déséquilibre alimentaire, manque de sommeil, etc.
Élément principal, le kit de sensibilisation a déjà été distribué à 1.200 exemplaires en quelques semaines. «Nous dépasserons donc très probablement l’objectif de 1.500 sensibilisations au bout d’un an», se réjouit Sophie Bouvier, déléguée régionale de l’AFT. Sur trois ans, l’objectif est de toucher 4.000 salariés en Alsace, soit un cinquième de l’effectif du secteur transport-logistique régional. Le kit donne accès à une multitude d’informations : conseils d’addictologues, tests médicaux, exercices physiques. Et pour les employeurs des informations sur la réglementation, particulièrement précieuses pour les PME qui ne peuvent les suivre au jour le jour.
Le groupe de travail d’une dizaine d’employeurs et médecins du travail qui a préparé l’action a souhaité aborder un maximum de questions : les addictions «classiques» comme l’alcool, le tabac et les drogues, mais aussi celle aux jeux vidéo ou au téléphone portable. Il a insisté sur les conséquences sur l’hygiène de vie : problèmes de santé, déséquilibre alimentaire, manque de sommeil, etc.
