Le groupe danois AP Møller-Maersk va créer avec IBM une joint-venture. Un projet qui devrait lui garantir d'échapper à une nouvelle cyberattaque.
Maersk, le leader mondial du transport conteneurisé, et le groupe informatique IBM vont utiliser la technologie dite "blockchain" pour alimenter la nouvelle plateforme, ainsi que d'autres technologies "open source" basées sur le cloud.
"Les industriels, les armateurs, les transitaires, les opérateurs portuaires et les autorités douanières peuvent tous bénéficier de ces nouvelles technologies", estime-t-on dans le milieu informatique.
Vincent Clerc et Michael J. White
Selon Vincent Clerc, directeur commercial de Maersk et futur président du conseil d'administration de la nouvelle joint-venture, "cette nouvelle société marque une étape importante dans nos efforts stratégiques pour dynamiser la numérisation du commerce mondial. Offrir une plateforme numérique neutre et ouverte pour échanger facilement et en toute sécurité des informations est énorme et tous les acteurs de la chaîne d'approvisionnement en bénéficieront".
Maersk et IBM ont désigné Michael J. White, auparavant président de Maersk Line en Amérique du Nord, à la direction générale de la nouvelle société. Selon lui, "aujourd'hui, une grande quantité de ressources est gaspillée en raison de processus manuels inefficaces et sujets aux erreurs. Les pilotes ont confirmé nos attentes à l'égard de l'industrie en matière de gains d'efficacité et de possibilités de rationalisation et de normalisation des flux d'information numériques".
En 2017, le numéro un mondial du transport maritime avait été victime d'une cyberattaque qui avait affecté de nombreux terminaux gérés par sa filiale APMT. Le projet de création de cette joint-venture avec IBM devrait lui permettre d'échapper à ce type de menace. La nouvelle joint-venture aura son siège social dans la région métropolitaine de New York.
"Les industriels, les armateurs, les transitaires, les opérateurs portuaires et les autorités douanières peuvent tous bénéficier de ces nouvelles technologies", estime-t-on dans le milieu informatique.
Vincent Clerc et Michael J. White
Selon Vincent Clerc, directeur commercial de Maersk et futur président du conseil d'administration de la nouvelle joint-venture, "cette nouvelle société marque une étape importante dans nos efforts stratégiques pour dynamiser la numérisation du commerce mondial. Offrir une plateforme numérique neutre et ouverte pour échanger facilement et en toute sécurité des informations est énorme et tous les acteurs de la chaîne d'approvisionnement en bénéficieront".
Maersk et IBM ont désigné Michael J. White, auparavant président de Maersk Line en Amérique du Nord, à la direction générale de la nouvelle société. Selon lui, "aujourd'hui, une grande quantité de ressources est gaspillée en raison de processus manuels inefficaces et sujets aux erreurs. Les pilotes ont confirmé nos attentes à l'égard de l'industrie en matière de gains d'efficacité et de possibilités de rationalisation et de normalisation des flux d'information numériques".
En 2017, le numéro un mondial du transport maritime avait été victime d'une cyberattaque qui avait affecté de nombreux terminaux gérés par sa filiale APMT. Le projet de création de cette joint-venture avec IBM devrait lui permettre d'échapper à ce type de menace. La nouvelle joint-venture aura son siège social dans la région métropolitaine de New York.
