
© Air France-KLM
"Désigner les salariés pour partie responsables de la situation particulièrement grave que traverse la Compagnie est irrecevable !", dit le syndicat. "Il n'est pas question pour nous de déconnecter Air France du contexte global et des profondeurs du changement de société qu'à marche forcée on voudrait nous imposer à notre insu et contre nos intérêts élémentaires. Le respect et la transparence doivent servir de base à toute discussion", poursuit-il.
La CGT Air France estime par ailleurs que le court et moyen-courrier est "sous haute pression". Selon le syndicat, la direction a "évoqué" "la probabilité de création d'une filiale spécifique dédiée à cette activité", "tout en indiquant qu'il ne dépendrait finalement qu'aux salariés concernés qu'il en soit autrement". "Se servir de la situation d'Air France pour sabrer des acquis sociaux, alors que rien n'est fait depuis des mois et que l'on persiste à ne donner aucune explication sur le sens de la transformation engagée et ses finalités au sens de la place qui y occuperont des salariés, n'encourage pas à la sérénité", s'inquiète par ailleurs la CGT Air France, premier syndicat lors des dernières élections professionnelles. "Contraindre les salariés par des méthodes coercitives à se plier aux décisions tombées d'en haut n'est bien évidemment pas la méthode adéquate. Il est important qu'une vision industrielle et commerciale d'avenir soit communiquée aux salariés et à leurs représentants car il est indispensable de pouvoir se projeter", poursuit-elle.
La CGT Air France estime par ailleurs que le court et moyen-courrier est "sous haute pression". Selon le syndicat, la direction a "évoqué" "la probabilité de création d'une filiale spécifique dédiée à cette activité", "tout en indiquant qu'il ne dépendrait finalement qu'aux salariés concernés qu'il en soit autrement". "Se servir de la situation d'Air France pour sabrer des acquis sociaux, alors que rien n'est fait depuis des mois et que l'on persiste à ne donner aucune explication sur le sens de la transformation engagée et ses finalités au sens de la place qui y occuperont des salariés, n'encourage pas à la sérénité", s'inquiète par ailleurs la CGT Air France, premier syndicat lors des dernières élections professionnelles. "Contraindre les salariés par des méthodes coercitives à se plier aux décisions tombées d'en haut n'est bien évidemment pas la méthode adéquate. Il est important qu'une vision industrielle et commerciale d'avenir soit communiquée aux salariés et à leurs représentants car il est indispensable de pouvoir se projeter", poursuit-elle.