Le port d'Alger a vu au premier trimestre ses volumes fondre de près de 20 %. Sa direction estime que son activité est à la fois victime des séquelles de la crise sanitaire mais aussi des restrictions des importations algériennes imposées par l'État, que la croissance des exportations n'est pas parvenue à compenser.
À 1,9 million de tonnes, le port de la capitale algérienne a enregistré au premier trimestre un recul d'activité de 18 % par rapport aux trois premiers mois de l'année 2021. La direction de l'Entreprise portuaire du port d'Alger (Epal) attribue cette tendance baissière à trois filières : les produits agricoles, le conteneur et les hydrocarbures.
En effet, l'autorité portuaire a comptabilisé au cours de la période 61.220 EVP, soit 24 % de moins qu'au cours du premier trimestre 2021. Elle estime que ce ralentissement de près d'un quart du volume est dû à la crise sanitaire qui continue de traverser le monde. Autre phénomène ayant freiné l'évolution du trafic du port algérois, la restriction des importations dans le pays.
En effet, l'autorité portuaire a comptabilisé au cours de la période 61.220 EVP, soit 24 % de moins qu'au cours du premier trimestre 2021. Elle estime que ce ralentissement de près d'un quart du volume est dû à la crise sanitaire qui continue de traverser le monde. Autre phénomène ayant freiné l'évolution du trafic du port algérois, la restriction des importations dans le pays.