Le constructeur ferroviaire Alstom a remporté un contrat de près de 760 millions pour la fourniture de trains régionaux en Basse-Saxe, dans le nord-ouest de l'Allemagne.
Le nouveau contrat signé par Alstom concerne la fourniture de 34 rames de type "Coradia Steam", de 4 voitures chacune, et la livraison de 18 voitures supplémentaires pour allonger les rames en fonction de la demande, ainsi que leur maintenance pendant trente ans, a précisé le groupe français. L'autorité régionale Landesnahverkehrsgesellschaft Niedersachsen (LNVG) compte faire circuler ces nouveaux trains à partir de décembre 2024 entre Hanovre, Brême, Bremerhaven, Osnabrück, Wilhelmshaven et Norddreich-Mole, dans une vaste région comprenant l'est de la Basse-Saxe et le land de Brême. Les trains seront construits dans les usines Alstom de Salzgitter, en Basse-Saxe, et Katowice, en Pologne, selon un porte-parole du groupe.
Aide du Québec pour une site ayant appartenu à Bombardier
De l'autre côté de l'Atlantique, le gouvernement du Québec prévoit un prêt de 56 millions de dollars canadiens (37 millions d'euros) à Alstom pour assurer l'avenir d'une usine d'assemblage de voitures de métros ayant appartenu au canadien Bombardier. Cette usine, située à La Pocatière, dans l'est du Québec, appartient maintenant au groupe français, qui a absorbé fin janvier l'ancienne division Transport de Bombardier.
L'aide du Québec doit permettre à Alstom d’effectuer à partir d'avril divers investissements en vue "d’accroître la productivité" de l’usine, a dit Pierre Fitzgibbon, ministre québécois de l'Économie. Il a expliqué que le géant français n'aura pas à rembourser le prêt s'il maintient un minimum de 400 emplois sur le site entre 2022 et 2026 et de 350 ensuite jusqu'à la fin de 2029. L'usine emploie actuellement environ 420 personnes, mais n'en comptera plus qu'une "centaine" à partir de l'automne après la fin d'un contrat pour la fourniture de voitures du métro de Montréal et d'un autre à Toronto, a de son côté précisé David Van der Wee, directeur du matériel roulant pour les Amériques d'Alstom.
Le groupe espère ramener le nombre d'emplois à son niveau actuel dans la seconde moitié de 2022 en confiant de nouveaux mandats à l'usine pour des contrats de transport en commun à Vancouver et dans l'Etat américain du New Jersey, a-t-il dit. La Caisse de dépôt et placement du Québec est devenu le premier actionnaire d'Alstom, avec 17,5% du capital, depuis que le constructeur ferroviaire a bouclé fin janvier le rachat de Bombardier Transport pour 5,5 milliards d'euros.
Aide du Québec pour une site ayant appartenu à Bombardier
De l'autre côté de l'Atlantique, le gouvernement du Québec prévoit un prêt de 56 millions de dollars canadiens (37 millions d'euros) à Alstom pour assurer l'avenir d'une usine d'assemblage de voitures de métros ayant appartenu au canadien Bombardier. Cette usine, située à La Pocatière, dans l'est du Québec, appartient maintenant au groupe français, qui a absorbé fin janvier l'ancienne division Transport de Bombardier.
L'aide du Québec doit permettre à Alstom d’effectuer à partir d'avril divers investissements en vue "d’accroître la productivité" de l’usine, a dit Pierre Fitzgibbon, ministre québécois de l'Économie. Il a expliqué que le géant français n'aura pas à rembourser le prêt s'il maintient un minimum de 400 emplois sur le site entre 2022 et 2026 et de 350 ensuite jusqu'à la fin de 2029. L'usine emploie actuellement environ 420 personnes, mais n'en comptera plus qu'une "centaine" à partir de l'automne après la fin d'un contrat pour la fourniture de voitures du métro de Montréal et d'un autre à Toronto, a de son côté précisé David Van der Wee, directeur du matériel roulant pour les Amériques d'Alstom.
Le groupe espère ramener le nombre d'emplois à son niveau actuel dans la seconde moitié de 2022 en confiant de nouveaux mandats à l'usine pour des contrats de transport en commun à Vancouver et dans l'Etat américain du New Jersey, a-t-il dit. La Caisse de dépôt et placement du Québec est devenu le premier actionnaire d'Alstom, avec 17,5% du capital, depuis que le constructeur ferroviaire a bouclé fin janvier le rachat de Bombardier Transport pour 5,5 milliards d'euros.
