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À Lyon, le débat public est prolongé de deux mois au sujet de l'Anneau des sciences-Tronçon Ouest du Périphérique. Un cabinet indépendant a été choisi début février pour effectuer une expertise complémentaire concernant d’autres hypothèses que celles retenues par le Grand Lyon qui mène le projet. L’expertise répondra peut-être aux nombreuses questions et interrogations formulées lors des réunions par les 1.300 participants et certains des 17.800 internautes : D’autres auraient-elles une incidence significative sur le projet ? Comment procédera-t-on pour la requalification de l’A6/A7 ? Comment sera exactement financé le projet et établis les péages ? Comment s’articuleront les différents modes de transport ? L’arrivée de l’A89 transformera-t-elle l’Anneau des sciences en une infrastructure de transit Nord-Sud et Est-Ouest ?
Le Grand Lyon a confirmé qu’une décision de l’État sur les trafics de transit est la condition préalable à la réalisation du projet. Les avis semblent converger sur certaines priorités comme la nécessité de l’articulation entre les modes de transports ou la requalification de l’A6/A7. La réalisation du chaînon manquant du périphérique nécessiterait un investissement oscillant entre 2 et 3 milliards d’euros. Il concerne 15 km de voies dont 13 km seront enterrés. Au printemps, la commission particulière du débat public présidée par Philippe Marzolf rendra compte de ses consultations.
Le Grand Lyon a confirmé qu’une décision de l’État sur les trafics de transit est la condition préalable à la réalisation du projet. Les avis semblent converger sur certaines priorités comme la nécessité de l’articulation entre les modes de transports ou la requalification de l’A6/A7. La réalisation du chaînon manquant du périphérique nécessiterait un investissement oscillant entre 2 et 3 milliards d’euros. Il concerne 15 km de voies dont 13 km seront enterrés. Au printemps, la commission particulière du débat public présidée par Philippe Marzolf rendra compte de ses consultations.