À 108,3 millions de tonnes, le port d'Anvers a achevé le premier semestre de l'année sur une hausse de trafic de 3,6 % par rapport aux six premiers mois de 2015. Une évolution que le port scaldien doit à la progression de 4,4 % du trafic conteneurisé mais surtout à une croissance de 8,4 % des vracs liquides.
Anvers a enregistré au premier semestre un volume de 5 millions d'EVP, soit 59,7 millions de tonnes. En revanche, le trafic roulier a reculé de 3,7 % pour s'établir à 2,3 millions de tonnes. Le nombre de voitures traitées sur les quais anversois a toutefois progressé de 1,3 % pour se chiffrer à plus de 620.300 véhicules. La croissance de 12,3 % des produits sidérurgiques, à 3,7 millions de tonnes, n'est pas parvenue à inverser la tendance à la baisse qui a marqué le conventionnel. À 4,7 millions de tonnes, ce secteur a en effet enregistré un repli de 1,7 %.
La direction du port belge souligne la stabilité du trafic fruitier malgré la poursuite de la conteneurisation dans le secteur. Elle souligne également une baisse de tonnages dans les produits forestiers. La mauvaise tenue du papier et de la pulpe de bois a eu un impact sur les résultats anversois.
À 35,4 millions de tonnes, les vracs liquides ont en revanche progressé de 8,4 %. Dans la filière des hydrocarbures, les produits raffinés ont connu une hausse de 13,9 %, à 26,2 millions de tonnes.
Les vracs solides en recul
Les vracs solides ont en revanche chuté de 14,7 % au premier semestre, à 6 millions de tonnes. L'autorité portuaire belge mentionne le plongeon de 55 % du trafic de charbon, à 372.000 tonnes. Elle souligne que la consommation a continué de baisser au cours du deuxième trimestre.
Tout au long de ce premier semestre, le nombre de porte-conteneurs de grand gabarit qui ont fait escale à Anvers a augmenté de manière significative, souligne l'autorité portuaire. Alors qu’en 2015 leur nombre avait stagné à 146 au cours des six premiers mois, une augmentation de 66 % a été remarquée cette année avec 242 unités cellularisées de 10.000 à 13.000 EVP. La croissance dans la catégorie des porte-conteneurs de 13.000 EVP et plus a été encore spectaculaire, puisque le bond est chiffré à 78 %.
Anvers a enregistré au premier semestre un volume de 5 millions d'EVP, soit 59,7 millions de tonnes. En revanche, le trafic roulier a reculé de 3,7 % pour s'établir à 2,3 millions de tonnes. Le nombre de voitures traitées sur les quais anversois a toutefois progressé de 1,3 % pour se chiffrer à plus de 620.300 véhicules. La croissance de 12,3 % des produits sidérurgiques, à 3,7 millions de tonnes, n'est pas parvenue à inverser la tendance à la baisse qui a marqué le conventionnel. À 4,7 millions de tonnes, ce secteur a en effet enregistré un repli de 1,7 %.
La direction du port belge souligne la stabilité du trafic fruitier malgré la poursuite de la conteneurisation dans le secteur. Elle souligne également une baisse de tonnages dans les produits forestiers. La mauvaise tenue du papier et de la pulpe de bois a eu un impact sur les résultats anversois.
À 35,4 millions de tonnes, les vracs liquides ont en revanche progressé de 8,4 %. Dans la filière des hydrocarbures, les produits raffinés ont connu une hausse de 13,9 %, à 26,2 millions de tonnes.
Les vracs solides en recul
Les vracs solides ont en revanche chuté de 14,7 % au premier semestre, à 6 millions de tonnes. L'autorité portuaire belge mentionne le plongeon de 55 % du trafic de charbon, à 372.000 tonnes. Elle souligne que la consommation a continué de baisser au cours du deuxième trimestre.
Tout au long de ce premier semestre, le nombre de porte-conteneurs de grand gabarit qui ont fait escale à Anvers a augmenté de manière significative, souligne l'autorité portuaire. Alors qu’en 2015 leur nombre avait stagné à 146 au cours des six premiers mois, une augmentation de 66 % a été remarquée cette année avec 242 unités cellularisées de 10.000 à 13.000 EVP. La croissance dans la catégorie des porte-conteneurs de 13.000 EVP et plus a été encore spectaculaire, puisque le bond est chiffré à 78 %.
"Un hub européen aux atouts jugés multiples"
Anvers rappelle qu'il doit sa position de "deuxième plus grand port ferroviaire d'Europe" aux liaisons multimodales dont il dispose. La direction de l'autorité portuaire souligne : "Le transport fluvial est un mode de transport durable qui permet d'acheminer tous types de marchandises en toute sécurité". Et d'expliquer : "Il permet un accès rapide vers le réseau fluvial intérieur européen via le canal de l'Escaut au Rhin, le canal Albert et le canal maritime de Bruxelles à l'Escaut".
L'établissement portuaire belge indique que "chaque terminal de la zone portuaire dispose de sa propre liaison ferroviaire". Quant aux pipelines, "ils permettent aux entreprises chimiques de transporter de manière fiable et sécurisée les produits liquides vers la Belgique et les pays voisins".
Le port scaldien continue de traiter une partie des trafics français. Il estime être "une passerelle idéale vers l’Europe". Et d'insister : "Son emplacement stratégique lui confère des liaisons avec l'hinterland européen, les destinations d'Outre-Mer et une véritable proximité avec le marché et les centres de distribution européens. Les régions commerciales françaises principales pour le port d’Anvers sont Lille-Roubaix-Valenciennes et Alsace-Lorraine".