Alain Biechel, PDG de Sacha, a profité de la récente assemblée générale de Promofluvia pour évoquer les derniers développements de la Société anonyme de la cale de halage d’Arles qui a (enfin) obtenu, le 9 novembre 2016, son classement ICPE. Les travaux d’extension et d’amélioration seront entamés en 2018.
C’est le 9 novembre dernier que la Dreal a enfin enregistré Sacha en Installation classée pour la protection de l’environnement après au moins six ans de négociations retardées à cause de diverses questions techniques et juridiques (modification du Pos de la ville d’Arles, par exemple).
En son genre, le slipway d’Arles est le plus long de France. Actuellement, il permet de lever des bateaux allant jusqu’à 120 mètres et 1.750 tonnes. C’est insuffisant du fait de l’allongement de la taille des bateaux et de l’évolution des flottes. Fin 2017, seront connues les entreprises retenues après le lancement des appels d’offres. En 2018 et 2019, les travaux qui seront conduits pendant les périodes d’étiage, en été, permettront de passer de 14 à 16 voies pour prendre des bateaux de commerce et de croisières allant jusqu’à 135 mètres de long et pesant 2.400 tonnes. La voie 7 subira aussi des travaux de réfection. Elle n’est pas opérationnelle actuellement. 2020 sera une période de "finitions" avec, par exemple, le traitement anti-bruit, l’organisation d’un quai d’attente, des travaux de génie civil, électriques et hydrauliques.
Pour passer à cette vitesse supérieure qui prépare l’avenir et ouvre des champs d’actions, 8,5 millions d’euros sont nécessaires. Aux côtés de VNF, pilote, et du Feder, les régions Paca et Auvergne-Rhône-Alpes, CNR et d’autres financeurs sont sollicités. Le conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes s’implique déjà dans Sacha, société pourtant localisée dans les Bouches-du-Rhône. En matière fluviale, la notion de bassin chapeaute la notion de région.
En son genre, le slipway d’Arles est le plus long de France. Actuellement, il permet de lever des bateaux allant jusqu’à 120 mètres et 1.750 tonnes. C’est insuffisant du fait de l’allongement de la taille des bateaux et de l’évolution des flottes. Fin 2017, seront connues les entreprises retenues après le lancement des appels d’offres. En 2018 et 2019, les travaux qui seront conduits pendant les périodes d’étiage, en été, permettront de passer de 14 à 16 voies pour prendre des bateaux de commerce et de croisières allant jusqu’à 135 mètres de long et pesant 2.400 tonnes. La voie 7 subira aussi des travaux de réfection. Elle n’est pas opérationnelle actuellement. 2020 sera une période de "finitions" avec, par exemple, le traitement anti-bruit, l’organisation d’un quai d’attente, des travaux de génie civil, électriques et hydrauliques.
Pour passer à cette vitesse supérieure qui prépare l’avenir et ouvre des champs d’actions, 8,5 millions d’euros sont nécessaires. Aux côtés de VNF, pilote, et du Feder, les régions Paca et Auvergne-Rhône-Alpes, CNR et d’autres financeurs sont sollicités. Le conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes s’implique déjà dans Sacha, société pourtant localisée dans les Bouches-du-Rhône. En matière fluviale, la notion de bassin chapeaute la notion de région.
