Bansard International a fait entrer il y a quelques mois dans sa flotte de remorques une trentaine d'unités de type P400. Le commissionnaire de transport fraîchement entré dans le groupe Seko estime qu'elles lui permettent de mieux s'adapter au transport multimodal.
Alors qu'il a défrayé récemment la chronique en intégrant le groupe américain Seko, l'opération du commissionnaire de transport français Bansard International consistant à acquérir de nouvelles remorques était restée il y a quelques mois un peu discrète.
Pourtant, selon le transitaire qui revendique la position de "premier opérateur ro-ro français sur le Maghreb", cet investissement a porté, pour une première phase, sur 30 unités de type P400.
Conçues pour la multimodalité
L'objectif du transitaire est de compter dans son parc des remorques présentant la particularité d'être conçues pour le transport multimodal en étant adaptées au modes ferroviaire et routier. Pour cette acquisition, la société a été guidée par leur "système de chargement permettant de les placer, à l'aide d'un stacker ou d’une grue, sur un wagon dédié et sur les rails d'un train de fret", a expliqué David Vermeersch, directeur route international de la société.
Lors d'une opération de démonstration menée le 7 octobre dans le sud de la France, avec son partenaire Novatrans, en gare de fret d’Avignon (Vaucluse), le responsable a insisté sur la fiabilité accrue de ces remorques P400 (plusieurs départs hebdomadaires à horaires fixes). Il a souligné qu'elles étaient dotées d'un système GPS solaire intégré. La réduction des émissions de CO2 et la moindre consommation de gazole sont également des atouts qui ont été mis en avant ce jour-là pour prouver leur caractère écologique.
Optimiser les liaisons Maghreb
Le groupe Bansard indique qu'elles sont exploitées sur le réseau ferroviaire reliant, au sud, Avignon à Valenton (Val-de-Marne).
"Grâce au maillage national de Novatrans, le groupe mise sur un développement de notre activité internationale. Nous recherchons constamment des façons d’optimiser la route Maghreb avec une prise en charge au plus proche du port de Marseille de nos remorques P400", ajoute David Vermeersch. Il a souligné "l'importance stratégique" d'améliorer davantage le service pour les flux en provenance de Tunisie, notamment, via le port de Marseille.
Pourtant, selon le transitaire qui revendique la position de "premier opérateur ro-ro français sur le Maghreb", cet investissement a porté, pour une première phase, sur 30 unités de type P400.
Conçues pour la multimodalité
L'objectif du transitaire est de compter dans son parc des remorques présentant la particularité d'être conçues pour le transport multimodal en étant adaptées au modes ferroviaire et routier. Pour cette acquisition, la société a été guidée par leur "système de chargement permettant de les placer, à l'aide d'un stacker ou d’une grue, sur un wagon dédié et sur les rails d'un train de fret", a expliqué David Vermeersch, directeur route international de la société.
Lors d'une opération de démonstration menée le 7 octobre dans le sud de la France, avec son partenaire Novatrans, en gare de fret d’Avignon (Vaucluse), le responsable a insisté sur la fiabilité accrue de ces remorques P400 (plusieurs départs hebdomadaires à horaires fixes). Il a souligné qu'elles étaient dotées d'un système GPS solaire intégré. La réduction des émissions de CO2 et la moindre consommation de gazole sont également des atouts qui ont été mis en avant ce jour-là pour prouver leur caractère écologique.
Optimiser les liaisons Maghreb
Le groupe Bansard indique qu'elles sont exploitées sur le réseau ferroviaire reliant, au sud, Avignon à Valenton (Val-de-Marne).
"Grâce au maillage national de Novatrans, le groupe mise sur un développement de notre activité internationale. Nous recherchons constamment des façons d’optimiser la route Maghreb avec une prise en charge au plus proche du port de Marseille de nos remorques P400", ajoute David Vermeersch. Il a souligné "l'importance stratégique" d'améliorer davantage le service pour les flux en provenance de Tunisie, notamment, via le port de Marseille.
