
Au quatrième trimestre, le meilleur de l'année, le chiffre d'affaires de Bolloré s'établit à 2,28 milliards d'euros, en hausse de 7 % à périmètre et taux de change constants. En données brutes, la progression pour l'ensemble de l'année atteint 21 %, du fait entre autres de l’intégration de LCN (Les Combustibles de Normandie) à partir du 1er février 2011. Le secteur de la distribution d’énergie, affiche la meilleure performance, avec une hausse de 20 % à 3,2 milliards d'euros, due à "l'augmentation des prix des produits pétroliers". "En données brutes, intégrant LCN, la hausse est de 60 %", relève Bolloré.
+ 6,5 % pour le transport et la logistique
Principale activité du groupe, le transport et la logistique progressent de 6,5 % à 4,8 milliards d'euros, bénéficiant "de la hausse des volumes dans la commission de transport (...) et de la croissance du transport et de la logistique en Afrique, malgré le fort ralentissement des activités en Côte d’Ivoire enregistré au premier semestre du fait de la crise".
Bolloré a également bénéficié de la bonne tenue de ses activités industrielles (films d’emballage, stockage d’électricité, terminaux et systèmes spécialisés), en croissance de 10 %, à 225 millions d'euros. Il a tiré profit sur ces métiers de "la hausse des volumes et des prix des films plastiques", ainsi que des "bonnes performances" de sa filiale IER, spécialisée dans les bornes et terminaux de billetterie, d'identification et de contrôle d'accès dans les transports (aéroports, gares, péages routiers).
+ 6,5 % pour le transport et la logistique
Principale activité du groupe, le transport et la logistique progressent de 6,5 % à 4,8 milliards d'euros, bénéficiant "de la hausse des volumes dans la commission de transport (...) et de la croissance du transport et de la logistique en Afrique, malgré le fort ralentissement des activités en Côte d’Ivoire enregistré au premier semestre du fait de la crise".
Bolloré a également bénéficié de la bonne tenue de ses activités industrielles (films d’emballage, stockage d’électricité, terminaux et systèmes spécialisés), en croissance de 10 %, à 225 millions d'euros. Il a tiré profit sur ces métiers de "la hausse des volumes et des prix des films plastiques", ainsi que des "bonnes performances" de sa filiale IER, spécialisée dans les bornes et terminaux de billetterie, d'identification et de contrôle d'accès dans les transports (aéroports, gares, péages routiers).