Burkina Faso : les entreprises françaises prennent leurs précautions

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Les entreprises françaises implantées au Burkina Faso ont commencé à prendre des mesures de précaution pour leurs personnels et leurs installations, même si le risque matériel et l'enjeu économique restent réduits. De l'avis d'un spécialiste de la sécurité des expatriés, "le risque est très limité" au Burkina Faso. "Pour l'instant, il n'y a pas de demande de départ, les gens attendent que la situation se stabilise", témoigne Bernard Jacquemart, directeur de l'information de la société Scutum Security First, qui conseille plusieurs entreprises françaises présentes au Burkina Faso. Dans un contexte révolutionnaire marqué depuis jeudi 30 octobre par des manifestations massives, des émeutes, la suspension de la Constitution et la prise de pouvoir du lieutenant-colonel Isaac Zida, les groupes français ont principalement sollicité "des informations et des conseils de comportement" pour leurs employés sur place. Le ministère des Affaires étrangères indique que plus de 3.500 ressortissants y sont inscrits au registre des Français vivant hors de France. Le ministère a dénombré 62 entreprises implantées au Burkina Faso. Parmi les principaux groupes disposant d'une filiale dans le pays, Total…
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