
© LYON TERMINAL
En septembre 2011, un rapport sur Lyon Port de mer et sous-titré «MultipLyon nos capacités d’échanges» a été réalisé par la CNR et la CCI de Lyon soutenues par les divers professionnels et opérateurs du fleuve. Ce rapport contient notamment seize propositions destinées à positionner le Port de Lyon comme un point stratégique de l’économie lyonnaise et à placer le transport fluvial en situation de développement.
Seize propositions
La CNR et la CCI ont souhaité apporter un éclairage particulier sur un équipement multimodal de premier intérêt au cœur des échanges et du développement durable de l’agglomération lyonnaise et qui constitue une centralité à part entière : le port Édouard-Herriot. Cette «centralité» englobe les notions d’accessibilité aux axes de transports nationaux et européens, de rayonnement par des activités industrielles et commerciales d’envergure, des effets d’entraînement sur l’ensemble de l’agglomération, des compétences économiques croisées, des investissements privés majoritaires et une densité d’emplois remarquable… Les seize propositions visent donc à affirmer la place du port comme pôle économique urbain incontournable.
Autre fait marquant, la signature de l’acte fondateur du «Comité des ports du bassin Saône-Rhône-Méditerranée sous l’égide de Jean-François Carenco, préfet de la région Rhône-Alpes et préfet coordonnateur du bassin Rhône-Méditerranée, toujours dans la même optique de renforcer l’efficacité du réseau des ports de Lyon à la mer et de mener une politique offensive de conquête des trafics.
Seize propositions
La CNR et la CCI ont souhaité apporter un éclairage particulier sur un équipement multimodal de premier intérêt au cœur des échanges et du développement durable de l’agglomération lyonnaise et qui constitue une centralité à part entière : le port Édouard-Herriot. Cette «centralité» englobe les notions d’accessibilité aux axes de transports nationaux et européens, de rayonnement par des activités industrielles et commerciales d’envergure, des effets d’entraînement sur l’ensemble de l’agglomération, des compétences économiques croisées, des investissements privés majoritaires et une densité d’emplois remarquable… Les seize propositions visent donc à affirmer la place du port comme pôle économique urbain incontournable.
Autre fait marquant, la signature de l’acte fondateur du «Comité des ports du bassin Saône-Rhône-Méditerranée sous l’égide de Jean-François Carenco, préfet de la région Rhône-Alpes et préfet coordonnateur du bassin Rhône-Méditerranée, toujours dans la même optique de renforcer l’efficacité du réseau des ports de Lyon à la mer et de mener une politique offensive de conquête des trafics.
«MultipLyon nos capacités d’échanges»
«La CNR a également entrepris un vaste programme de requalification des aménagements du port et des services», observe Gilles Durel, adjoint au directeur à la direction du développement économique et portuaire. C’est ainsi qu’un espace de vie pour les usagers et les mariniers a vu le jour avec un restaurant inter-entreprises et divers services reconfigurés dans un ensemble plus agréable, plus boisé, plus fonctionnel. Un réseau de vidéo-surveillance actif 24 heures sur 24 a été installé pour sécuriser la fréquentation du port et gérer les trafics.
Parmi les dossiers en cours, figure un projet de requalification de la zone portuaire de Solaize-Sérezin-Ternay avec en perspective le renouvellement de 15 km de foncier embranché voie d’eau en 2012, opération réalisée dans le cadre d’un appel d’offres. «La création d’une nouvelle plate-forme fluviale au Pouzin, en Ardèche, est en cours de commercialisation et elle devrait être opérationnelle en 2013»,précise encore M. Durel. On notera enfin la contribution de la CNR au développement de la Zac multimodale de Salaise (300 ha) en partenariat avec la Région, le Département de l’Isère et la Communauté de communes du Pays Roussillonnais avec en perspective l’aménagement de 40 ha sur un site de la CNR embranché fer et voie d’eau et ce, à l’horizon 2015.