
© Mulhouse-Rhin
La même réunion en 2011, toujours à Besançon (Doubs), s’était déroulée dans une atmosphère plus optimiste. Depuis, l’alternance politique est intervenue, il y a eu le "coup de froid" de Seine-Nord et désormais la remise à plat du Snit. L’association est donc suspendue au verdict attendu en mars de la commission instituée par le ministre délégué aux Transports, Frédéric Cuvillier. "Nous ne désarmons pas. Le projet que nous défendons a l’atout d’être également inscrit au programme européen RTE-T. Et la voie d’eau a été suffisamment marginalisée dans les programmes d’infrastructures par le passé pour espérer que ce ne soit pas le cas une nouvelle fois", expose Pascal Viret, président de Saône-Rhin Europe.
L’AG a entériné l’entrée au conseil d’administration du Consortium international pour le développement des voies navigables présidé par l’ancien ministre alsacien Philippe Richert, confirmant le combat désormais commun des deux structures en faveur de Saône-Rhin.
Le réexamen des projets du Snit permettra de savoir si le débat public commun à Saône-Moselle et Saône-Rhin se tiendra bien, comme cela est prévu à l’automne 2013. Pascal Viret espère ce débat, et il l’espère "clair, transparent, sincère, honnête, pas limité à des échanges entre participants sur leurs positions vis-à-vis des projets". Pour l’heure, sa préparation suit un cours normal. L’étude de contexte est achevée, l’étude technico-environnementale devant identifier des couloirs possibles de passage et celle à caractère socio-économique se poursuivent. De même que les ateliers territoriaux qui font remonter jusqu’à la fin de l’année les premières réactions des acteurs socio-économiques des huit régions françaises concernées.
L’AG a entériné l’entrée au conseil d’administration du Consortium international pour le développement des voies navigables présidé par l’ancien ministre alsacien Philippe Richert, confirmant le combat désormais commun des deux structures en faveur de Saône-Rhin.
Le réexamen des projets du Snit permettra de savoir si le débat public commun à Saône-Moselle et Saône-Rhin se tiendra bien, comme cela est prévu à l’automne 2013. Pascal Viret espère ce débat, et il l’espère "clair, transparent, sincère, honnête, pas limité à des échanges entre participants sur leurs positions vis-à-vis des projets". Pour l’heure, sa préparation suit un cours normal. L’étude de contexte est achevée, l’étude technico-environnementale devant identifier des couloirs possibles de passage et celle à caractère socio-économique se poursuivent. De même que les ateliers territoriaux qui font remonter jusqu’à la fin de l’année les premières réactions des acteurs socio-économiques des huit régions françaises concernées.