Si le GNL est adopté par certains transporteurs maritimes pour réduire leurs émissions polluante, d’autres solutions existent ou se développent. Hydrogène, méthanol, ammoniaque… ces carburants alternatifs au fioul lourds ont un bien meilleur bilan carbone, mais une moindre intensité énergétique.
"Pourquoi le maritime fait-il le choix du GNL ?". La deuxième table ronde de la conférence de l'Association française du gaz et de France gaz maritime, qui s’est tenue le 24 novembre, a mis en avant le gaz naturel liquéfié en tant qu’énergie de transition pour le transport maritime. "Le GNL est aisément disponible dans les ports grâce aux terminaux méthaniers, et autres infrastructures créées pour le secteur de l’énergie mais dont le maritime profite", remarque Frédéric Meyer, directeur de la stratégie et des projets de la branche carburant maritimes de TotalEnergies. Arrivé sur le marché pour son aspect économique, le GNL s’impose aujourd’hui dans l’objectif de la décarbonation avec une amélioration du bilan carbone de l’ordre de 20 % par rapport au fioul. Sa place dans le mix énergétique semble incontournable, d’autant qu’il peut aisément, à l’avenir, être remplacé par du bioGNL issu…
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