La société américaine de commission en transport fait du Havre et de l’axe Seine sa première porte d’entrée en Europe.
"Malgré la crise, la France demeure la cinquième puissance économique mondiale, rappelle Chris Wilson, responsable américain de la nouvelle agence havraise de CaroTrans, il est donc important pour nous d’être présents sur son sol". Déjà établie aux États‐Unis, en Australie, en Nouvelle‐ Zélande ou encore en Chine, la société américaine de commission en transport CaroTrans (groupe MainFreight) a ainsi ouvert en juin dernier au Havre son premier bureau européen. C’est à partir de la Normandie que cette entreprise de 250 salariés entend développer les trafics import/export depuis les États‐Unis. Parmi les ports du range nord‐européen, CaroTrans a retenu celui du Havre. "Nous l’avons préféré à d’autres ports de dimension mondiale en raison du développement de l’axe Seine. Car le port du Havre, c’est avant tout celui de Paris", précise Chris Wilson qui juge le port normand "en plein développement". La base havraise, spécialisée dans le fret maritime, sert de rampe de lancement à CaroTrans en Europe : Greg Howard, président, a en effet affiché sa volonté d’ouvrir par la suite des bureaux à Paris et à Marseille.
Après Seattle…
CaroTrans a choisi de s’installer au sein du pôle tertiaire des gares, dans le Centre havrais de commerce international (CHCI), à proximité du centre‐ville et des espaces portuaires. Dès son lancement, l’entreprise américaine a recruté trois salariés, un chiffre que Chris Wilson, qui se dit "satisfait des trois premiers mois passés en Normandie", ambitionne d’augmenter au fur et à mesure du développement des affaires. "Nous visons à renforcer notre activité auprès de tous les centres économiques qui utilisent la place portuaire du Havre : Paris, Lyon, Nantes, Bordeaux, mais aussi plus au nord, la région de Lille que nous savons très tournée vers Anvers…"
Après Seattle…
CaroTrans a choisi de s’installer au sein du pôle tertiaire des gares, dans le Centre havrais de commerce international (CHCI), à proximité du centre‐ville et des espaces portuaires. Dès son lancement, l’entreprise américaine a recruté trois salariés, un chiffre que Chris Wilson, qui se dit "satisfait des trois premiers mois passés en Normandie", ambitionne d’augmenter au fur et à mesure du développement des affaires. "Nous visons à renforcer notre activité auprès de tous les centres économiques qui utilisent la place portuaire du Havre : Paris, Lyon, Nantes, Bordeaux, mais aussi plus au nord, la région de Lille que nous savons très tournée vers Anvers…"
