Le groupe français de distribution Carrefour a réalisé un chiffre d'affaires en baisse de 7,5 % au premier trimestre par rapport aux ventes publiées il y a un an, mais conforme aux attentes des analystes avec un bon dynamisme au Brésil et une reprise en France.
Reconnaissant être toujours confronté à un environnement économique difficile, le directeur financier de Carrefour, Pierre-Jean Sivignon, s'est félicité de "performances satisfaisantes", en particulier grâce à la bonne tenue des ventes de l'alimentaire dans le monde ainsi qu'à l'international.
En Europe, alors que l'Italie et l'Espagne chutent, la Belgique sort son épingle du jeu (+ 3,1 %). L'international fait meilleure figure avec pour la période sous revue une hausse de 3 % du chiffre d'affaires à 11,5 milliards d'euros. L'Amérique latine reste l'un des marchés les plus porteurs, en particulier le Brésil. Les ventes du groupe y ont progressé de 13,9 % à 3,9 milliards d'euros. Enfin, en Asie, les ventes sont stables (+ 0,1 %) à 2,1 milliards d'euros.
Le chiffre d'affaires en France, le premier marché de Carrefour, s'est établi à 9,2 milliards d'euros, soit une très légère baisse de 0,7 % pro forma. Il a été notamment affecté par un effet calendaire et de mauvaises conditions météorologiques. Globalement, le pays fait toutefois preuve d'une bonne "résistance" avec une augmentation des ventes alimentaires dans les hypermarchés, selon Pierre-Jean Sivignon.
En Europe, alors que l'Italie et l'Espagne chutent, la Belgique sort son épingle du jeu (+ 3,1 %). L'international fait meilleure figure avec pour la période sous revue une hausse de 3 % du chiffre d'affaires à 11,5 milliards d'euros. L'Amérique latine reste l'un des marchés les plus porteurs, en particulier le Brésil. Les ventes du groupe y ont progressé de 13,9 % à 3,9 milliards d'euros. Enfin, en Asie, les ventes sont stables (+ 0,1 %) à 2,1 milliards d'euros.
Le chiffre d'affaires en France, le premier marché de Carrefour, s'est établi à 9,2 milliards d'euros, soit une très légère baisse de 0,7 % pro forma. Il a été notamment affecté par un effet calendaire et de mauvaises conditions météorologiques. Globalement, le pays fait toutefois preuve d'une bonne "résistance" avec une augmentation des ventes alimentaires dans les hypermarchés, selon Pierre-Jean Sivignon.
