Le port d’Arles a achevé l'année 2013 sur un trafic en stabilité par rapport à 2012 mais a constaté la poursuite du développement de son chiffre d'affaires.
En 2013, l'activité de la plateforme fluviale et fluvio-maritime d'Arles s'est élevée à 437.979 tonnes (soit 0,30 % de plus qu'en 2012), portée essentiellement par la hausse des déchets, des produits métalliques, du sel et du papier qui ont compensé la baisse de certains secteurs. Le nombre d'escales s'est élevé à 279 navires.
La direction du port d'Arles constate que le transport fluvial représente environ 20 % des flux enregistrés sur la plateforme. Un mode marqué, selon l'établissement, par le trafic de ballast ferroviaire (en provenance de Mâcon), le sel de déneigement destiné à l’ensemble de l’axe Rhône-Saône, les engrais (un trafic import qui remonte sur le Rhône après être transbordé sur des barges). Benoît Ponchon, le directeur du port fluvio-maritime géré par la CCI du pays d'Arles, souligne également le trafic de colis lourds et encombrants. Il s'agit, selon lui, d'un secteur faible en tonnage mais qui permet à la plateforme arlésienne de doper son chiffre d'affaires. Tel est le cas du lot de 450 tonnes qui a été embarqué en 2013 pour le compte de l'entreprise Constructions métalliques de préfabrication (CMP).
Extension du linéaire de quai
L'année 2013 s'est caractérisée par une chute de plus de 74 % de la tourbe, de 55 % des combustibles, un recul de près de 24 % des céréales à l'export (une filière en provenance de Bourgogne) et une baisse de 28 % du ciment. En revanche, les produits métalliques ont bondi de 463 %, les produits manufacturés ont augmenté de 269 %, le sel a progressé de 170 % et les déchets de 145 %.
En fluvio-maritime, l'Italie, l'Espagne, l'Algérie et le Maroc font partie des principaux pays avec lequel le port d'Arles échange le plus. En fluvial pur, les Pays-Bas sont son premier partenaire.
Le port d'Arles a prévu de célébrer à l'été 2014 son trentième anniversaire et d'inaugurer l'extension de son linéaire de quai qui passera de 80 à 180 mètres et son terre-plein de 0,5 à 2 hectares.
La direction du port d'Arles constate que le transport fluvial représente environ 20 % des flux enregistrés sur la plateforme. Un mode marqué, selon l'établissement, par le trafic de ballast ferroviaire (en provenance de Mâcon), le sel de déneigement destiné à l’ensemble de l’axe Rhône-Saône, les engrais (un trafic import qui remonte sur le Rhône après être transbordé sur des barges). Benoît Ponchon, le directeur du port fluvio-maritime géré par la CCI du pays d'Arles, souligne également le trafic de colis lourds et encombrants. Il s'agit, selon lui, d'un secteur faible en tonnage mais qui permet à la plateforme arlésienne de doper son chiffre d'affaires. Tel est le cas du lot de 450 tonnes qui a été embarqué en 2013 pour le compte de l'entreprise Constructions métalliques de préfabrication (CMP).
Extension du linéaire de quai
L'année 2013 s'est caractérisée par une chute de plus de 74 % de la tourbe, de 55 % des combustibles, un recul de près de 24 % des céréales à l'export (une filière en provenance de Bourgogne) et une baisse de 28 % du ciment. En revanche, les produits métalliques ont bondi de 463 %, les produits manufacturés ont augmenté de 269 %, le sel a progressé de 170 % et les déchets de 145 %.
En fluvio-maritime, l'Italie, l'Espagne, l'Algérie et le Maroc font partie des principaux pays avec lequel le port d'Arles échange le plus. En fluvial pur, les Pays-Bas sont son premier partenaire.
Le port d'Arles a prévu de célébrer à l'été 2014 son trentième anniversaire et d'inaugurer l'extension de son linéaire de quai qui passera de 80 à 180 mètres et son terre-plein de 0,5 à 2 hectares.
