CiMer : Armateurs de France fonde ses espoirs sur le "Fontenoy du maritime"
Regrettant que les sujets abordés lors du Comité interministériel de la mer (CiMer) s'étant déroulé au Havre le 22 janvier sont restés essentiellement portuaires, Armateurs de France fonde de grands espoirs dans le "Fontenoy du maritime" d'avril prochain.
Si l'association des armateurs français estime qu'elle "s'implique de près dans les évolutions de la politique portuaire française et salue les mesures prises à cet égard lors du (dernier) CiMer, elle déplore que "des enjeux du transport spécifiques n'aient pas pu être à l'ordre du jour".
La réaction des transporteurs maritimes nationaux est l'occasion de rappeler que le secteur, qui subit lui aussi l'impact de la crise sanitaire, nourrit un "projet stratégique pour sa relance". Celui-ci porte à la fois sur "l’amélioration de sa compétitivité, sa contribution à la transition écologique" mais aussi "à la solidarité et la souveraineté économiques du pays".
Jean-Emmanuel Sauvée, le président d’Armateurs de France, a déclaré : "Au printemps dernier, nous avons partagé nos ambitions avec Annick Girardin (la ministre de la Mer, NDLR) qui, dans la foulée, a lancé un grand chantier collaboratif, le "Fontenoy du maritime"". Les espoirs de l'association professionnelle se fondent sur "le résultat de cette démarche consensuelle entre tous les partenaires et parties prenantes de notre écosystème maritime".
Et de citer parmi eux les parlementaires, les élus des collectivités, le Cluster maritime français (CMF) et toutes les organisations professionnelles du secteur, ainsi que les organisations syndicales de navigants et de sédentaires.
Regrettant que les sujets abordés lors du Comité interministériel de la mer (CiMer) s'étant déroulé au Havre le 22 janvier sont restés essentiellement portuaires, Armateurs de France fonde de grands espoirs dans le "Fontenoy du maritime" d'avril prochain.
Si l'association des armateurs français estime qu'elle "s'implique de près dans les évolutions de la politique portuaire française et salue les mesures prises à cet égard lors du (dernier) CiMer, elle déplore que "des enjeux du transport spécifiques n'aient pas pu être à l'ordre du jour".
La réaction des transporteurs maritimes nationaux est l'occasion de rappeler que le secteur, qui subit lui aussi l'impact de la crise sanitaire, nourrit un "projet stratégique pour sa relance". Celui-ci porte à la fois sur "l’amélioration de sa compétitivité, sa contribution à la transition écologique" mais aussi "à la solidarité et la souveraineté économiques du pays".
Jean-Emmanuel Sauvée, le président d’Armateurs de France, a déclaré : "Au printemps dernier, nous avons partagé nos ambitions avec Annick Girardin (la ministre de la Mer, NDLR) qui, dans la foulée, a lancé un grand chantier collaboratif, le "Fontenoy du maritime"". Les espoirs de l'association professionnelle se fondent sur "le résultat de cette démarche consensuelle entre tous les partenaires et parties prenantes de notre écosystème maritime".
Et de citer parmi eux les parlementaires, les élus des collectivités, le Cluster maritime français (CMF) et toutes les organisations professionnelles du secteur, ainsi que les organisations syndicales de navigants et de sédentaires.
