Une croissance de 22,2 % pour le nombre d’opérations effectuées (98.086), + 23,8 % pour le chiffre d’affaires (117,7 millions d’euros), + 28,2 % pour la marge commerciale brute (29,7 millions), + 109,5 % pour le résultat opérationnel courant (3 millions) et + 148,2 % pour le résultat net part du groupe (1,5 million). Le groupe Clasquin a réalisé une bonne première moitié d'année.
Cette importante croissance au premier semestre, marquée notamment par la très forte progression de la marge commerciale brute est liée, d’une part, à une belle croissance endogène de 13,1 % (6,9 % à taux de change constant) validant une fois de plus la qualité de l’offre permettant de surperformer l’essor du marché et, d’autre part, aux opérations de croissance externe (+ 15,1%) réalisées ces derniers mois avec l’américain ECS et l’allemand GAF puis avec le rhodanien LCI.
Présence étendue vers l'Est
Ne disposant pas d’actifs physiques, cette ETI continue de sélectionner les meilleurs prestataires et sous-traitants. "Plus nous grandissons, plus nous sommes à l’aise vis-à-vis des grands acteurs du marché", résume Hugues Morin, directeur général pour la France et plusieurs pays voisins, rappelant devant les experts financiers les capacités du groupe à faire du sur-mesure, à concevoir de bout en bout les flux overseas, à optimiser les coûts et les délais.
Opérant sur les cinq continents via ses 56 bureaux et sa World Freight Alliance, Clasquin emploie 668 salariés enrichis des 49 collaborateurs de LCI (Lafont Chavent International).
La société détient depuis le 21 mars dernier 80 % du capital de la société financière LCI laquelle s’est portée acquéreur de 100 % du capital de LCI International. Spécialisée dans la commission de transport entre la France, le Maghreb et la Turquie, disposant aussi de lignes vers la Roumanie et la Bulgarie, LCI a son siège à Villefranche-sur-Saône, un bureau à Vitrolles et un autre à La Crèche (Deux-Sèvres). Elle dispose de trois filiales et participations en Tunisie.
Cette importante croissance au premier semestre, marquée notamment par la très forte progression de la marge commerciale brute est liée, d’une part, à une belle croissance endogène de 13,1 % (6,9 % à taux de change constant) validant une fois de plus la qualité de l’offre permettant de surperformer l’essor du marché et, d’autre part, aux opérations de croissance externe (+ 15,1%) réalisées ces derniers mois avec l’américain ECS et l’allemand GAF puis avec le rhodanien LCI.
Présence étendue vers l'Est
Ne disposant pas d’actifs physiques, cette ETI continue de sélectionner les meilleurs prestataires et sous-traitants. "Plus nous grandissons, plus nous sommes à l’aise vis-à-vis des grands acteurs du marché", résume Hugues Morin, directeur général pour la France et plusieurs pays voisins, rappelant devant les experts financiers les capacités du groupe à faire du sur-mesure, à concevoir de bout en bout les flux overseas, à optimiser les coûts et les délais.
Opérant sur les cinq continents via ses 56 bureaux et sa World Freight Alliance, Clasquin emploie 668 salariés enrichis des 49 collaborateurs de LCI (Lafont Chavent International).
La société détient depuis le 21 mars dernier 80 % du capital de la société financière LCI laquelle s’est portée acquéreur de 100 % du capital de LCI International. Spécialisée dans la commission de transport entre la France, le Maghreb et la Turquie, disposant aussi de lignes vers la Roumanie et la Bulgarie, LCI a son siège à Villefranche-sur-Saône, un bureau à Vitrolles et un autre à La Crèche (Deux-Sèvres). Elle dispose de trois filiales et participations en Tunisie.
"L'acquisition de LCI aura un effet dès cette année"
Ce spécialiste du groupage totalise environ 30.000 positions par an. "Nous nous connaissons depuis longtemps avec Yves Revol et ses collaborateurs. Nous n’avons pas la même taille mais la même culture. La synergie des équipes a été rapide et c'est prometteur", explique Yves Chavent. LCI réalise 18,1 millions d’euros et sa marge commerciale brute est de 6,8 millions. "Cette opération aura un effet relutif en termes de bénéfice par action et de rentabilité dès cette année", estime Philippe Lons, directeur général délégué et directeur financier.
Vers de nouvelles acquisitions
Surfant avec réactivité sur l’évolution parfois folle des taux de fret maritime sur l’axe Asie-Europe ou du fret aérien, toutefois plus stable, Clasquin traverse les bourrasques des marchés, des crises, des flux, des changes. Avec des fondamentaux sains, des capacités d’investissement correctes, le groupe Clasquin veut conquérir de nouvelles parts de marché là où il est implanté, conforter sa présence encore insuffisante aux États-Unis, passer à la vitesse supérieure en Allemagne, en Grande-Bretagne, au Benelux (avec Rotterdam) et en Suisse. Hormis les textiles, les denrées périssables, les alcools et spiritueux, les biens de consommation, l’équipement industriel, Clasquin observe les marchés de niche tels que les transports d’œuvres d’art, d’animaux et de produits pharmaceutiques. En France, les exportations de vins et spiritueux ont atteint 5,2 milliards d’euros à la fin du premier semestre (+ 10 %). Pour ce marché, Clasquin recherche un manager, tout en gardant un œil sur d’éventuelles futures acquisitions.
Vers de nouvelles acquisitions
Surfant avec réactivité sur l’évolution parfois folle des taux de fret maritime sur l’axe Asie-Europe ou du fret aérien, toutefois plus stable, Clasquin traverse les bourrasques des marchés, des crises, des flux, des changes. Avec des fondamentaux sains, des capacités d’investissement correctes, le groupe Clasquin veut conquérir de nouvelles parts de marché là où il est implanté, conforter sa présence encore insuffisante aux États-Unis, passer à la vitesse supérieure en Allemagne, en Grande-Bretagne, au Benelux (avec Rotterdam) et en Suisse. Hormis les textiles, les denrées périssables, les alcools et spiritueux, les biens de consommation, l’équipement industriel, Clasquin observe les marchés de niche tels que les transports d’œuvres d’art, d’animaux et de produits pharmaceutiques. En France, les exportations de vins et spiritueux ont atteint 5,2 milliards d’euros à la fin du premier semestre (+ 10 %). Pour ce marché, Clasquin recherche un manager, tout en gardant un œil sur d’éventuelles futures acquisitions.