Être implanté sur les deux rives de la Méditerranée constitue, selon Sébastien Dahan, administrateur délégué de l'entreprise marseillaise Comartrans, un atout pour un commissionnaire de transport vis-à-vis du donneur d'ordres. Le transitaire est implanté au Maroc depuis 2000 sous le label DEC International à Casablanca, et depuis neuf ans en Algérie, au travers de sa filiale Elinatrans.
L'entreprise dit posséder une expertise dans le secteur des projets et des biens industriels ainsi que dans les produits pharmaceutiques. Au fil du temps, il s'est forgé une bonne place dans le matériel ferroviaire des deux pays du Maghreb. Des expéditions qu'il réalise soit en conventionnel, soit en ro-ro, soit en conteneurs en sortie du port de Marseille, mais également d'Anvers, de Barcelone ou de la Spezia.
"Dans la mesure du possible, nous privilégions les lignes directes plutôt que les services en transbordement", indique Sébastien Dahan. Le transitaire dit avoir recours soit au pavillon français, soit au registre national algérien, soit enfin au pavillon du royaume chérifien. "Car c'est nous qui choisissons l'armateur, en fonction des pré-requis des réceptionnaires de la marchandise".
Pour l'heure, la société est peu présente sur le marché tunisien car, selon son dirigeant, elle ne possède pas ses propres remorques.
"Un seul pôle de décision"
Interrogé sur ce qui distingue Comartrans par rapport à ses concurrents de plus grande taille, Sébastien Dahan, le fils d'Hervé, le fondateur de l'entreprise, indique : "Nous avons un seul pôle de décision. Et être implantés des deux côtés de la Méditerranée nous permet d'avoir plus de souplesse et de réactivité".
L'entreprise dit posséder une expertise dans le secteur des projets et des biens industriels ainsi que dans les produits pharmaceutiques. Au fil du temps, il s'est forgé une bonne place dans le matériel ferroviaire des deux pays du Maghreb. Des expéditions qu'il réalise soit en conventionnel, soit en ro-ro, soit en conteneurs en sortie du port de Marseille, mais également d'Anvers, de Barcelone ou de la Spezia.
"Dans la mesure du possible, nous privilégions les lignes directes plutôt que les services en transbordement", indique Sébastien Dahan. Le transitaire dit avoir recours soit au pavillon français, soit au registre national algérien, soit enfin au pavillon du royaume chérifien. "Car c'est nous qui choisissons l'armateur, en fonction des pré-requis des réceptionnaires de la marchandise".
Pour l'heure, la société est peu présente sur le marché tunisien car, selon son dirigeant, elle ne possède pas ses propres remorques.
"Un seul pôle de décision"
Interrogé sur ce qui distingue Comartrans par rapport à ses concurrents de plus grande taille, Sébastien Dahan, le fils d'Hervé, le fondateur de l'entreprise, indique : "Nous avons un seul pôle de décision. Et être implantés des deux côtés de la Méditerranée nous permet d'avoir plus de souplesse et de réactivité".
"C'est nous qui choisissons l'armateur, en fonction des pré-requis des réceptionnaires"
Fin 2011, Comartrans a racheté un entrepôt de 3.200 m2 à Marseille dans l'objectif d'"avoir une maîtrise complète des opérations de groupage et de consolidation vers le Maroc". Pour l'année en cours, Sébastien Dahan n'a pas prévu d'investissements majeurs. En cette période de crise, il souhaite continuer de développer les activités de l'entreprise sur le Maghreb, une région du monde où il souhaite voir s'intensifier les volumes issus du "cross trade" en sortie d'Asie et de Turquie, notamment.
Toutes entités confondues, l'entreprise marseillaise emploie aujourd'hui une trentaine de personnes.