L'armateur Corsica Linea vient de commander un premier navire à passagers propulsé au GNL au chantier italien Visentini. Sa livraison est prévue en 2022.
Le navire ropax commandé par l'armateur spécialiste de la desserte corse Corsica Linea le 25 juillet au chantier italien Visentini sera propulsé au gaz naturel liquéfié (GNL). D'une capacité de 650 passagers, il affichera 2.560 mètres linéaires de fret et 150 places de véhicules sur un pont dédié. Il mesurera 206 mètres de long et pourra filer à une vitesse de 23 nœuds.
La commande de Corsica Linea sera financée par le groupe Crédit agricole. L'armateur souligne que le constructeur européen Visentini, situé à Porto Viro, près de Venise, "est un chantier familial, doté d’une solide expérience dans la production de navires rouliers à passagers".
Pierre-Antoine Villanova, directeur général de la compagnie, a déclaré : "L’acquisition de ce navire constitue ainsi une avancée majeure pour notre compagnie en termes de verdissement de notre flotte. Le choix du GNL ancre Corsica Linea dans un mouvement de transport maritime durable en Méditerranée, grâce aux qualités environnementales probantes de ce carburant. Ce navire sera le premier navire au GNL à assurer des traversées Corse-continent".
"Le cap sur le développement durable"
Pour Corsica Linea, cette commande, qui intervient à l’issue des trois premières années de son existence, est "un nouveau tournant dans sa stratégie d’entreprise". Elle annonce vouloir mettre ainsi "le cap sur le développement durable".
L'armateur entend "déployer un mix de solutions énergétiques à bord pour accroître le rendement environnemental de sa flotte avec, entre autres solutions, un branchement électrique des navires à quai, une installation de scrubbers".
Selon la direction de la compagnie, la commande de ce navire au GNL vient compléter "un plan global de transition énergétique et environnemental de l’entreprise". Et de préciser le branchement électrique à quai (Cenaq) sur trois navires (les "Pascal Paoli", "Jean Nicoli" et "Paglia Orba"), l'optimisation de la performance énergétique des navires, le dispositif reblading, qui permet une réduction de 10 à 16 % de la consommation combustible du navire, en optimisant la combinaison hélices/puissance moteur.
Elle estime donc s'être pleinement mobilisée pour "en accélérer le verdissement". Des engagements récemment formalisés, selon elle, dans le cadre de la signature de la charte Sails (Sustainable Actions for Innovative and Low-Impact Shipping), le 23 juillet.
La commande de Corsica Linea sera financée par le groupe Crédit agricole. L'armateur souligne que le constructeur européen Visentini, situé à Porto Viro, près de Venise, "est un chantier familial, doté d’une solide expérience dans la production de navires rouliers à passagers".
Pierre-Antoine Villanova, directeur général de la compagnie, a déclaré : "L’acquisition de ce navire constitue ainsi une avancée majeure pour notre compagnie en termes de verdissement de notre flotte. Le choix du GNL ancre Corsica Linea dans un mouvement de transport maritime durable en Méditerranée, grâce aux qualités environnementales probantes de ce carburant. Ce navire sera le premier navire au GNL à assurer des traversées Corse-continent".
"Le cap sur le développement durable"
Pour Corsica Linea, cette commande, qui intervient à l’issue des trois premières années de son existence, est "un nouveau tournant dans sa stratégie d’entreprise". Elle annonce vouloir mettre ainsi "le cap sur le développement durable".
L'armateur entend "déployer un mix de solutions énergétiques à bord pour accroître le rendement environnemental de sa flotte avec, entre autres solutions, un branchement électrique des navires à quai, une installation de scrubbers".
Selon la direction de la compagnie, la commande de ce navire au GNL vient compléter "un plan global de transition énergétique et environnemental de l’entreprise". Et de préciser le branchement électrique à quai (Cenaq) sur trois navires (les "Pascal Paoli", "Jean Nicoli" et "Paglia Orba"), l'optimisation de la performance énergétique des navires, le dispositif reblading, qui permet une réduction de 10 à 16 % de la consommation combustible du navire, en optimisant la combinaison hélices/puissance moteur.
Elle estime donc s'être pleinement mobilisée pour "en accélérer le verdissement". Des engagements récemment formalisés, selon elle, dans le cadre de la signature de la charte Sails (Sustainable Actions for Innovative and Low-Impact Shipping), le 23 juillet.
