La cyberattaque de type rançonnement dont a été victime l'armateur chinois Cosco aux États-Unis le 24 juillet est réglée. Une semaine après, le service informatique du groupe a repris le contrôle du système d'exploitation américain.
Après Maersk Line, victime de Petya/NotPetya, c'est au tour de Cosco d'avoir vu son système d'exploitation paralysé par une cyberattaque en juillet aux États-Unis et au Canada. Elle a également eu un impact sur les implantations de l'armateur en Amérique Latine (Argentine, Brésil, Chili, Panama, Pérou et Uruguay). Pendant quelques heures, le 24 juillet, ses bureaux ne pouvaient plus correspondre entre eux. Aucun booking ne pouvait être effectué via le réseau informatique de la compagnie. Aujourd'hui, le groupe a repris le contrôle du système d'exploitation du continent américain.
Le reste du monde épargné
Cosco a déclaré que les opérations d'embarquement pouvaient de nouveau s'effectuer normalement et que, à l'import, la remise des conteneurs aux transporteurs routiers ainsi qu'aux opérateurs ferroviaires pouvait être réalisée via le système informatique de l'armateur. Seuls les terminaux de Los Angeles-Long Beach continuaient d'utiliser Yahoo avant la remise en état totale du système de la compagnie.
Cette cyberattaque, de moindre envergure toutefois que celle dont a souffert Maersk Line en 2017, a épargné la flotte de l'armateur et ses systèmes informatiques situés dans le reste du monde. Pour l'armateur danois, l'attaque avait représenté une facture de 300 millions d'euros.
Le reste du monde épargné
Cosco a déclaré que les opérations d'embarquement pouvaient de nouveau s'effectuer normalement et que, à l'import, la remise des conteneurs aux transporteurs routiers ainsi qu'aux opérateurs ferroviaires pouvait être réalisée via le système informatique de l'armateur. Seuls les terminaux de Los Angeles-Long Beach continuaient d'utiliser Yahoo avant la remise en état totale du système de la compagnie.
Cette cyberattaque, de moindre envergure toutefois que celle dont a souffert Maersk Line en 2017, a épargné la flotte de l'armateur et ses systèmes informatiques situés dans le reste du monde. Pour l'armateur danois, l'attaque avait représenté une facture de 300 millions d'euros.
